1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où le drame se noue
1 r même qui d’abord l’a rendue possible : elle est responsabilité . « Vous avez été appelés à la liberté, seulement ne faites pas de cet
2 e, en insistant d’un même mouvement sur la totale responsabilité de l’homme qui pèche et sur l’éternelle prescience et décision de Die
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
3 erté correspondrait donc à ses yeux au minimum de responsabilité . En fait, la liberté de Robinson est d’autant plus vide qu’elle est p
4 plus vide qu’elle est plus totale, tandis que la responsabilité maxima d’un roi idéalement consciencieux (ou de tout homme qui serait
5 réalise en actes, elle engage l’individu dans la responsabilité . Une tension s’institue du même coup entre liberté et responsabilité.
6 tension s’institue du même coup entre liberté et responsabilité . Loin de s’exclure, celles-ci s’actualisent donc réciproquement. Si l
7 l’autre, il n’y a plus ni vraie liberté ni vraie responsabilité . Imaginons maintenant la contrepartie de Robinson : une responsabilit
8 nons maintenant la contrepartie de Robinson : une responsabilité vide parce que totale. Ce qui la rend vide, c’est l’absence de toute
9 e dans ce cas. Il ne peut pas assumer vraiment la responsabilité dont il est chargé, faute d’une liberté au moins potentielle, dont il
10 multanée de toute vraie liberté et de toute vraie responsabilité . Ou encore : l’individualisme étant la tendance insulaire de l’homme,
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
11 des États-Unis. Ceux-ci n’ont pas souhaité cette responsabilité , et ne sont pas équipés pour l’exercer : c’est par là qu’ils différen