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ple heureux, où vous écrivez : « L’Europe fédérée
reste
la seule solution praticable. » Pensez-vous que la Suisse comprenne e
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ison pour laquelle nous devons sauver ce qui nous
reste
de nature et de cellule civique, la commune tout particulièrement. Il
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Mais, au-delà des uniformes qui séparent, il nous
reste
, traçant un chemin de rigueur et d’audace, la voix de Denis de Rougem
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en Europe, qu’elle soit fédéraliste ou qu’elle en
reste
au stade des États-nations. Bien sûr, si l’on prend, par exemple, le
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l’uniforme, plus que les hommes souvent. Il n’en
reste
pas moins, que bien ou mal, c’est par les femmes que se fait la cultu
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logique qu’il faut se marier. Eh bien, non, on ne
reste
pas amoureux tout le temps ! Chacun sait que le mariage, c’est la dur
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fadissement possible des relations amoureuses. Ne
reste-t
-il pas l’érotisme ? Même pas. C’est une évidence. L’érotisme est l’us
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celle de Louis XIV, des jacobins, de Napoléon, et
reste
celle des systèmes totalitaires de toutes couleurs. L’État-nation pré
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istes, parce qu’il n’y en a pas d’autres. Mais il
reste
toujours la part du diable. Qui est-ce, le diable ? Le diable, c’est
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dération » sera définitivement transcendée ; elle
reste
liée par nature à l’existence des États-nations de formule napoléonie
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onnelle mais ne veut pas chercher à comprendre le
reste
, au technicien du seul rendement (qui est en fin de compte la rentabi
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out secondaire — mais l’université n’était pas en
reste
vers 1914 —, l’école apprend depuis un siècle aux jeunes Français, Al
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s’ils les ignorent. 3. L’héritage culturel enfin
reste
une somme de virtualités, dont nous ne pouvons en général actualiser
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tout Européen moyen, dans la mesure exacte où il
reste
tributaire de son programme génétique. 1. Le nationalisme ou partisan
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nnes : le Marché commun, à condition que celui-ci
reste
dans ses compétences qui sont essentiellement économiques. À côté de
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le choix que chacun doit faire librement, tout le
reste
change. Si nous choisissons la liberté, l’épanouissement des personne
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se — en réalité nationale-matérialiste. Tout cela
reste
insignifiant au regard des dimensions et de l’urgence des tâches qui
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l se peut qu’elle soit « La culture est ce qui
reste
quand on a tout oublié », disait Édouard Herriot, homme politique bie
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rd Herriot, homme politique bien oublié, mais qui
reste
, précisément, par cette seule phrase sur la culture. On l’a prise pou
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érations, et finalement de nos personnes. Tout le
reste
est rhétorique ministérielle, clichés journalistiques, paragraphes de
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et rappellent davantage la France voisine que le
reste
de la Suisse, dont les ressortissants ou « Confédérés » forment pourt
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et les variables principales repérés, il ne nous
reste
qu’à tenter quelques coups simples du jeu dont nous venons de poser l
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e l’option Europe unie ou non va dépendre tout le
reste
et d’abord l’identité européenne. I. L’Europe divisée Dans le pr
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inévitable, obligatoire et pour ainsi dire sans «
reste
» d’anarchie. On sent bien que cela serait en contradiction réelle av
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es hommes séparés. Il est possible qu’il y ait un
reste
irréductible dans toute analyse des comportements mesurables et chiff
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tre mesurés que sur la base de statistiques qu’il
reste
encore à imaginer et de mesures qui feront peut-être un jour comprend
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tivité. En conclusion ouverte sur l’avenir, il me
reste
à définir, pour le revendiquer, ce droit suprême de la personne qui e
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la Romandie tout entière et, dans une mesure qui
reste
à déterminer, l’Isère, le Val d’Aoste et la Franche-Comté. L’aveni
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out secondaire — mais l’Université n’était pas en
reste
vers 1914 —, l’École apprend depuis un siècle aux jeunes Français, Al
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s alors on cesse d’être misanthrope, ou bien l’on
reste
misanthrope, mais alors il n’y a pas d’amicale. La fédération europée
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État peut faire de grandes guerres. Pour tout le
reste
: qualité de la vie, niveau de vie matériel, sécurité, créativité, de
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la Romandie tout entière, et dans une mesure qui
reste
à déterminer, l’Isère, le Val d’Aoste et la Franche-Comté. ⁂ Il est f
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ous maintenant que l’Europe est en crise. Il nous
reste
à voir que c’est une crise de civilisation. » Avec son humour tranqui
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l’amour. Le mari, lui, partage la vie d’Iseut. Il
reste
seul vivant, mais sans amour. Aux yeux du mythe, il est perdant. ⁂ À
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passion. Que deviendront nos romanciers ? Il leur
reste
le réalisme, le regard pseudo-scientifique détaillant des objets comm
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ien encore, et ce serait mieux, je crois, il leur
reste
le mythe de Don Juan, ce cliché négatif de Tristan : la surprise oppo
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is, et que notre culture tend à les supprimer, il
reste
un obstacle suprême, celui-là justement dont triomphe la passion de T
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iens voir Tristan et finis ses douleurs ! » Il en
reste
chez Bédier : « Que m’importe de mourir ! » — chez Mary, rien du tout