1 tôt contre un dilemme absurde : ou bien la pensée reste « libre », comme l’entendaient les libéraux — mais c’est la liberté d

2 is pour le salut de la pensée et pour que l’homme reste humain, ou le devienne. […] Seule, détient le pouvoir de s’incarner,

3 e Staline « toi qui fais lever le soleil ». Et je reste témoin, pour ma part, de l’attachement profond d’André Breton à la gr

4 i, à l’en croire, était exclusivement européenne… Reste le paradoxe de la modernité et de l’avant-garde : dans les arts et da

5 ure de l’équilibre écologique de la planète ». 5. Reste alors l’engagement au service de l’Europe, par quoi j’entends : au se

6 n France du moins — car on dirait que l’Allemagne reste indifférente, et l’on n’entend rien venir d’outre-Manche — l’Europe n

7 ’est le péché contre l’esprit des jacobins. Et le reste est fédéralisme, solidarité hypocrite permettant en réalité aux Autre

8 ure approximation du modèle fédéraliste intégral. Reste le cas décisif des régions transfrontalières. Les colloques réunis so

9 ntiel de la civilisation prépondérante ». Pour le reste du siècle, les noms de Nietzsche, de Proudhon, de Jacob Burckhardt, d

10 etrouveront dans les futurs congrès européens, le reste se perd, non dans le silence, hélas… Il en ira tout autrement du cong

11 lemande. Si nous voulons que la culture française reste , il faut qu’elle soit intégrée aux cadres d’une grande culture europé

12 e de Facultés au sens qu’a gardé le terme dans le reste du monde. Chacune de ces Facultés désormais isolée des autres, en dro

13 enne doit voir le jour au xxe siècle, il ne nous reste plus que seize ans ! » « Une souveraineté européenne » — encore qu’e

14 « Une souveraineté européenne » — encore qu’elle reste à définir — voilà ce que ne peuvent se permettre d’envisager nos État

15 appelle quand un seul a la souveraineté et que le reste du peuple n’y a que voir ; la démocratie ou l’estat populaire quand t

16 artie a la souveraineté en corps, et donne loy au reste du peuple ». Et de montrer longuement que tous les mixtes de ces troi

17 ation, par la fiscalité et plus tard par l’École. Reste l’économie industrielle, dont les premières manifestations ne semblen

18 nçais pour la conquête de la France, 1980). Il ne reste en fait que l’État qui puisse revendiquer la souveraineté absolue, la

19 ’ennuyant pas trop moi-même — je m’excuse pour le reste auprès de vous tous. Il me semble que ce colloque, des trois que nous

20 ieux conscience de ce que l’Europe a fait dans le reste du monde, en diffusant sans la moindre précaution, sans la moindre pr

21 ature, y compris l’opéra sont sortis de là, et le reste est sorti de la civilisation germanique, notamment les notions de com

22 -ils donc venus faire, sinon éteindre ce qui nous reste d’espoir, consommer le suicide du Conseil de l’Europe, sonner peut-êt

23 our nous et nous le prouverons par nos actes. On reste curieux de savoir ce que ces jeunes d’alors pensent aujourd’hui, c’es

24 ’Europe, publié récemment par son secrétariat, je reste stupéfait de lire p. 47 la phrase suivante : L’originalité de l’acti

25 aît bien les problèmes et les ressources. Tout le reste est littérature. Il n’y a pas de libertés sans responsabilités corres

26 s seulement ce qui est urgent, et qui commande le reste  : — il s’agit d’unifier les actions parallèles du CE et de la CEE, —

27 ique-là, tout en étant très antimarxistes pour le reste . Nous avons alors fondé les groupes personnalistes qui continuent auj

28 incipes d’une politique du pessimisme actif. » Je reste pessimiste actif, mais je souligne peut-être plus le mot « actif » qu