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ie hors de laquelle toute méditation constructive
reste
vaine, évasive et mortelle. Nous sommes au monde, nous ne sommes pas
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sions nous sont à jamais impossibles : et tout le
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est affaire d’obéissance aux ordres imprévisibles et concrets de la P
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tomber dans l’histoire. « Ainsi donc, il ne nous
reste
— émouvant spectacle pour ceux qui n’ont pas le vertige — qu’à rappor
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in que j’aime, je ne suis plus un isolé9, mais je
reste
un solitaire. C’est dans cette « solitude menacée » que viennent en f
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ans les pages illustrées de nos quotidiens. Il me
reste
à marquer la dépendance théologique d’une analyse qui peut paraître s
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e n’a rien sauvé. Je garde ma raison. Et, pour le
reste
, sacrifions aux dieux. ⁂ Un panthéisme angoissé, ressort d’une révolt
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ie papiste le jette dans l’incertitude. Il ne lui
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alors que le refuge d’un antidogmatisme cordial, sous le couvert duqu
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es sur Barth ? (Je tirai mon petit carnet) : « Je
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sur le terrain concret de l’humble “bon sens” (cartésien ?), et de la
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ne expérience à la fois humaine et divine ! — que
reste-t
-il de la vie chrétienne ? Je vous le demande ! Mme Nicodème (sècheme
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la soi-disant expérience chrétienne : eh bien, il
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simplement le message existentiel de la Parole de Dieu ! Il me semble
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qui compte, et qu’ils font table rase de tout le
reste
! Comme s’ils étaient… Je ne veux pas blasphémer. Il faut aussi que j
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érience nécessaire. Oui, cette expérience-là nous
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à jamais impossible, c’est pour cela qu’il faut la croire ! Et l’atte
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i fut révélé dans l’Écriture, et non ailleurs. Il
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à dire ceci : Et nous, croyons-nous assez « sérieusement » cela ? Cro