1 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
1 ution ne nous conduira pas au Paradis ; mais elle reste le seul effort effectif que l’homme d’aujourd’hui peut produire pour
2 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
2 à l’« altruisme » véritable. Tout bien compté, —  reste la seule angoisse. Etc., etc.) Nietzsche a horreur de toute dogmatiqu
3 bien comprise nous ordonne d’aider dans sa peine, reste un voisin, ne devient pas prochain. Car le centre du monde reste « mo
4 , ne devient pas prochain. Car le centre du monde reste « moi ». De moi à lui, je ne vois qu’une distance. Seul le rapport de
5 ces évaluations rageusement neutralisées, il nous reste de Nietzsche sa rage, son style souverain de pensée. Qu’il ne reste d
6 sa rage, son style souverain de pensée. Qu’il ne reste d’une œuvre qu’un style, n’est-ce pas là le dernier caractère qui nou
3 1935, Présence, articles (1932–1946). Autour de Nietzsche : petite note sur l’injustice (novembre 1935)
7 ient pour plus vrai que sa vie, et à quoi tout le reste s’ordonne, y compris cette justice dont nous pensions, non sans ingén
8 L’intelligence est justement ce qui ordonne « le reste  » — à peu près tout — à cet acte de foi décisif. Il est un temps pour
9  ou les deux à la fois — bon gré mal gré. Tout le reste est professorat. 15. « Cette prétention chrétienne à vouloir monopo