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lus rigoureuse du fait de la résurrection. Il lui
reste
alors, dans une deuxième partie, à défaire cette histoire trop bien f
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re sentir. Ces réserves faites sur la méthode, il
reste
que les conclusions négatives de M. Goguel sont loin d’être aussi rui
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bien intentionnés, il faut avouer que la question
reste
entière : que devons-nous faire, comme chrétiens, dans la cité ? Si l
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ourtant, la vocation qui nous envoie dans la cité
reste
impérieuse ! Alors quoi ? direz-vous, que reste-t-il pratiquement ? V
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é reste impérieuse ! Alors quoi ? direz-vous, que
reste-t
-il pratiquement ? Va-t-on nous renvoyer une fois de plus à ce recours
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s, — de même que le premier devoir de l’ingénieur
reste
de faire des plans et des calculs, et non pas de gâcher du ciment ? S
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de doctrine et comme communauté. Sur ce plan tout
reste
à créer. Et quelque chose doit être créé si nous voulons éviter que l
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ises chrétiennes un dilemme très net : il ne leur
reste
plus qu’à s’endormir, ou bien à passer à l’attaque. Ce lendemain d’un
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que celle de romain, surtout au premier. Que nous
reste-t
-il ? 2° On ne peut déduire de ce fait que le catholicisme, en général
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s, etc., dans le monde, depuis quatre siècles, il
reste
qu’aujourd’hui beaucoup d’auteurs se proclament catholiques ou athées