1
clusions… Dans cette situation fâcheuse, il ne me
reste
qu’un espoir : celui d’instruire les lectrices tout en amusant les sa
2
esthétiques et sa valeur de tragédie spirituelle.
Reste
une confuse et diffuse souffrance, quelque chose d’impur et de triste
3
rrons.) La faute est donc consommée. Mais Tristan
reste
lié par la mission qu’il a reçue du roi. Il conduit donc Iseut à Marc
4
plices d’un même rêve au sein duquel chacun d’eux
reste
seul ; d’où le crescendo romanesque et la mortelle apothéose. Dualité
5
de ce qui condamne ce désir. Ainsi l’interdiction
reste
affirmée, et l’objet reste inavoué, mais tout de même il y est fait a
6
. Ainsi l’interdiction reste affirmée, et l’objet
reste
inavoué, mais tout de même il y est fait allusion, et par là, dans un
7
né et sanctifié, c’est-à-dire réconcilié, l’homme
reste
un homme (n’est pas divinisé) mais un homme qui ne vit plus pour lui
8
ncompatible avec le clair génie de notre race. Il
reste
donc d’une part un phénomène étrange, et d’autre part, de fort savant
9
à dire que la lyrique courtoise dont il s’occupe
reste
à ses yeux et jusqu’à plus ample informé « un assemblage de formules
10
évaut : … en fait, ce fou désir M’occira, que je
reste
ou aille par chemins Puisque celle qui me peut guérir ne me plaint.
11
supposer que tous partageaient cette foi. Mais il
reste
à marquer que le symbolisme courtois, s’il explique de la part des tr
12
symbolisme du roman courtois. Mais cette analogie
reste
purement formelle. Tout au plus devait-elle favoriser la confusion mo
13
oxie croit que Satan sera damné pour toujours. Il
reste
que dans ce temps, le manichéen condamne la vie, tandis que le chréti
14
d’un rapport quelconque entre ces deux réalités.
Reste
à savoir dans quelle mesure ce rapprochement ne nous est pas suggéré
15
rne du genre, et non pas un simple poème. Il n’en
reste
pas moins que dans l’ensemble, et si l’on considère surtout le princi
16
e même ensuite, et nos savants. Notre « science »
reste
donc valable à condition qu’on change le signe de chacune de ses prop
17
n, puisque, comme l’écrit ailleurs Eckhart, l’âme
reste
l’âme, et Dieu reste Dieu95. L’acte d’amour spirituel est initial, et
18
crit ailleurs Eckhart, l’âme reste l’âme, et Dieu
reste
Dieu95. L’acte d’amour spirituel est initial, et non final. Pour le c
19
historiquement. En théorie cependant l’objection
reste
possible, et même inévitable. On connaît le casse-tête philosophique
20
rieurs à la naissance de l’amour-passion, il n’en
reste
pas moins que celui-ci est postérieur à la mystique pseudo-chrétienne
21
d’y voir le rudiment d’un appel mystique, il n’en
reste
pas moins que l’intoxiqué est avant tout l’esclave de sa drogue. Psyc
22
Elle devient si totalement un seul être qu’il ne
reste
pas d’autre distinction que celle-ci : Lui demeure Dieu et elle demeu
23
hant : par ce plaisir elle oublie le chasseur, et
reste
là, et ne poursuit point ; de même celui qui est pénétré d’amour puis
24
seignait que la lumière est la matière divine… Il
reste
cependant que la doctrine de Milton est bien plus « rationnelle » et
25
la bergère. Voici un trait qui symbolise tout le
reste
. Au cinquième et dernier volume de ce roman que l’on n’ose nommer un
26
ns des devoirs sacrés en ce bas monde. Il ne nous
reste
plus rien que la confiance la plus parfaite l’un dans l’autre et la f
27
si peu de valeur que mes feuilles de saule. » (Le
reste
de la page, admirable, jusqu’aux fameux orages désirés)153. ⁂ « Pour
28
« On est détrompé sans avoir joui, dit René ; il
reste
encore des désirs et l’on n’a plus d’illusions… On habite avec un cœu
29
à ce supplice, elle voudrait y passer ce qui lui
reste
de vie. » 126. Saint Jean de la Croix : « Ô brûlure suave ! » et tou
30
tait lui qui avait subi la défaite 164. Il ne lui
reste
plus qu’à faire la preuve de sa vaillance, etc. Tout ceci pour le bea
31
ing, fut tué par un boulet de canon ? » ⁂ Il n’en
reste
pas moins que les conventions de la guerre et de l’amour courtois ont
32
d’élection, tandis que pour saint Paul, celui qui
reste
vierge « fait mieux » que celui qui se marie, même chrétiennement. L’
33
çaux et des romans bretons, l’adultère de Tristan
reste
une faute185, mais il se trouve revêtir en même temps l’aspect d’une
34
ne se décide jamais que pour son compte, — et le
reste
est indiscrétion. Mais je ne pouvais écrire un livre entier sur la pa
35
riage. Alors, si je ne puis l’atteindre, il ne me
reste
que la révolte contre ma condition de créature ; et au contraire, si
36
ppe. L’empire du mythe faiblit d’autant ; et s’il
reste
improbable qu’il s’abolisse jamais sans laisser de traces dans le cœu
37
ransformer le milieu naturel (d’où la technique).
Reste
à savoir si le christianisme, accueilli par les Indes ou la Chine, y
38
nvention courtoise (elle tranche nettement sur le
reste
de la légende qui est cléricale et féodale). Cette analogie avec Tris
39
érimenter… c’est l’immanence d’un Dieu qui est et
reste
transcendant ». Mais alors, lorsqu’une créature aime son Dieu, l’obst
40
ès pénétrantes, souvent très arbitraires. Mais il
reste
que l’histoire littéraire et religieuse n’a fait que confirmer, plus
41
doctrines ont bien des points de ressemblance. Il
reste
que saint François, s’il fut influencé par l’atmosphère de la religio