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action particulière dans l’évolution générale. Le
reste
du recueil est consacré à définir cette mission suisse, ses objectifs
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nt apparaître byzantines au grand public. Il n’en
reste
pas moins que le mot d’ordre « Défense de la personne humaine » est d
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exemple, disparaît en tant qu’Église vivante, il
reste
dans le pays une empreinte césaropapiste, d’où l’État totalitaire. Ma
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t, la force préventive, inattaquable tant qu’elle
reste
pure, des personnes librement solidaires, telles qu’en forme l’éthiqu
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ue protestante. Seulement il faut que cette force
reste
pure ! Car de même que le culte de la terre et des morts, pour peu qu
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repris au sérieux la théologie réformée. Il nous
reste
à prendre au sérieux la doctrine réformée de l’homme et de l’État. Ce
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nde, échappe aux prises de l’esprit humain, il ne
reste
qu’un seul principe pour mesurer la valeur de nos actes : c’est l’Arg
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cessons d’y penser ce soir. L’appel des peuples
reste
insatisfait. Il continue à nous poser la plus sérieuse question humai
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ou tard, là aussi, cet appel exigera une réponse.
Reste
à savoir si nous saurons la lui donner. Reste à savoir si nous sauron
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se. Reste à savoir si nous saurons la lui donner.
Reste
à savoir si nous saurons utiliser le délai qui nous est accordé, à no
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entendaient pas demeurer en arrière. Presque tout
reste
à faire, c’est certain. Mais l’important, c’est qu’enfin les Églises
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e de garde neutre. Il s’agit que cette conscience
reste
vivace. Que l’armée soit proche du peuple, cela doit avoir pour effet
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ect subordonné. Si l’on néglige à son profit « le
reste
», on fait œuvre de mauvais Suisse, car c’est ce « reste » justement
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, on fait œuvre de mauvais Suisse, car c’est ce «
reste
» justement qui donne un sens à la fédération, donc à l’armée qui la
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encore notre foi personnelle. Car c’est elle qui
reste
la source de notre amour de la vraie liberté, et cet amour est le fon
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de simples chiffons de papier ! La Confédération
reste
fondée sur la fidélité à la parole jurée, le nom l’indique, et surtou
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équent, la plus grave menace pour notre État. Que
reste-t
-il donc à répondre à ceux qui nous demandent d’entrer en guerre ? Ni
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ituelle. Et c’est sur ce plan décisif, qu’il nous
reste
le plus à faire. Il nous reste, par exemple, à découvrir toute notre
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écisif, qu’il nous reste le plus à faire. Il nous
reste
, par exemple, à découvrir toute notre histoire, ou nos histoires dive
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t défigurées et affadies par les manuels. Il nous
reste
à connaître vraiment nos confédérés suisses allemands, qui savent sou
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ement mieux que nous ce qu’est la Suisse. Il nous
reste
surtout à développer en profondeur ce que j’appellerai le sens fédéra
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et non seulement d’hérédités problématiques ! Il
reste
que la position géographique de la Suisse semble l’avoir prédestinée
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nce des montagnards existaient aussi bien dans le
reste
des Alpes : ce qui leur a permis de se réaliser en ce point très préc
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nécessités vitales : centralisation et autonomie.
Reste
à résoudre la difficulté pratique de leur dosage dans les institution
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c’est vis-à-vis de la guerre des autres que l’on
reste
tiède, cette neutralité peut être avantageuse dans certains cas, dans
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cisément, d’un conflit que nous jugeons mauvais. (
Reste
à savoir si le conflit actuel est « mauvais ». Puis, si notre tiédeur
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», de piloter l’État et d’orienter sa marche ; le
reste
, le fonctionnement technique de la machine, étant l’affaire des fonct