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tôt contre un dilemme absurde : ou bien la pensée
reste
« libre », comme l’entendaient les libéraux — mais c’est la liberté d
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ous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me
reste
à le définir en termes positifs, cette fois. Les dieux, les mythes du
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are. Mais ce serait là une autre conférence. ⁂ Il
reste
une question grave, une question dernière que je ne veux pas esquiver
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l’autorité n’est pas dans les bureaux d’État, il
reste
dans l’activité réelle de chaque personne, au sein de groupes d’autan
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la fixation brutale d’un désordre réel. Cet ordre
reste
à la merci de la révolte suffisamment violente de quelques vocations,
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se cet acte de foi en la dialectique marxiste, il
reste
peu de raisons d’imaginer possible le saut dans l’ordre de la liberté
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ie hors de laquelle toute méditation constructive
reste
vaine, évasive et mortelle. « Nous sommes au monde, nous ne sommes pa
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sions nous sont à jamais impossibles : et tout le
reste
est affaire d’obéissance aux ordres imprévisibles et concrets de la P
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dans ce qu’elle a de nécessairement constructif,
reste
le lieu d’obéissance privilégié pour le chrétien, mais ne se confond
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e de foi, pourrait me le faire franchir. Il ne me
reste
donc qu’à énumérer les réactions que je crois être celles du chrétien
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ue : « Croyez premièrement au Royaume, et tout le
reste
vous sera donné par-dessus. » 2° Le « Suis-moi » du Christ affirme qu
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e. Et le but final : la libération de l’individu,
reste
toujours hétérogène à ces moyens, qui sont, en l’espèce, l’organisati
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son humaine, qui ne peut être qu’obéissance ; qui
reste
donc symbolique d’une réalité transcendante. Je m’étonne toujours de
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s dans nos beaux sentiments, toute cette critique
reste
valable quand on se limite au plan humaniste, au plan psychologique.
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e une bourgeoisie déchue et un marxisme faux ? Il
reste
à faire la révolution — la vraie. Ni à gauche, ni à droite, il n’y a
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en ce pays ? La violence des communistes français
reste
le plus souvent verbale, électorale ; elle n’est pas dans leur doctri
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ils commencèrent à soupçonner la duperie. Il leur
reste
à comprendre que l’Égalité n’est pas seulement fictive, mais encore q
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surances étatisées, notre chance « personnaliste »
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entière. Ou plutôt elle cesse d’être une chance pour devenir la seule
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peut-être résume tous les autres : cette jeunesse
reste
sobre devant la mort, à la mesure de sa violence devant la vie. Sobre
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eule créatrice d’une liberté que l’homme des rues
reste
incapable de forger avec toute sa brutalité, ses injustices et ses co
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is.) Le combat singulier La troupe d’assaut
reste
l’expression adéquate d’une méthode de gouvernement antipersonnaliste
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lleurs, du fait de l’échec de la Réforme. Il n’en
reste
pas moins que, toute bourgeoise qu’elle soit et qu’elle apparaisse au
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l’ordre chrétien et le désordre établi. Elle n’en
reste
pas moins le lieu de rencontre de jeunes écrivains « de toutes croyan
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de choses près avec celui de cet office. Tout le
reste
de la production « qualifiée » serait libre, et placé sous la respons
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u nom des « intérêts » de la nation. La politique
reste
quelque chose d’extérieur à son être véritable. D’où la distinction b
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nt apparaître byzantines au grand public. Il n’en
reste
pas moins que le mot d’ordre « Défense de la personne humaine » est d
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exemple, disparaît en temps qu’Église vivante, il
reste
dans le pays une empreinte césaropapiste, d’où l’État totalitaire. Ma
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t, la force préventive, inattaquable tant qu’elle
reste
pure, des personnes librement solidaires, telles qu’en forme l’éthiqu
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ue protestante. Seulement il faut que cette force
reste
pure ! Car de même que le culte de la terre et des morts, pour peu qu
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repris au sérieux la théologie réformée. Il nous
reste
à prendre au sérieux la doctrine réformée de l’homme et de l’État. Ce