1 1947, Doctrine fabuleuse. Troisième dialogue sur la carte postale. L’homme sans ressemblance
1 publié récemment son image. Notez que le premier reste inconnu, mais c’est pour la raison précise qui fait de lui le héros v
2 bouteille, mais l’agent est déjà sorti. Il ne lui reste plus qu’à boire, pour oublier.
2 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
3 m’en apprenne davantage qu’une feinte aimable. Au reste nous sommes entre nous et vous n’abuserez pas de mes aveux… D’autant
3 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
4 mériter et tâcher de devenir quelqu’un. Il ne lui reste plus qu’à rentrer en lui-même. « Il se ramène en soi, n’ayant plus où
5 nstant où il se traduit par la négation de ce qui reste invérifiable. Stéphane n’a pas eu confiance. Or la personne est un a
4 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
6 paque science, sans détriment pour le mystère qui reste entier. Cependant, à voir tant d’auteurs s’exercer l’imagination sur
7 vais depuis longtemps, il n’a pas d’ombre ! » Que reste-t -il à un tel homme ? Le suicide ? Rien n’est plus loin de sa pensée. S
8 ignant d’un pouvoir d’invention dont la nouveauté reste entière. Et j’y songe : ce Schlemihl éternel, ce symbole en bottes de
5 1947, Doctrine fabuleuse. Contribution à l’étude du coup de foudre
9 ais mes conférences ou un dîner. Et je passais le reste de la nuit dans un bar, en compagnie d’un peintre réfugié, nommé Mari
6 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
10 ur la gloire. Il ne peut aboutir qu’au succès. Il reste sous l’empire de la comparaison. Beaucoup d’hommes n’imaginent pas qu
7 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
11 ’est autant dire que dans le monde païen, l’homme reste seul avec lui-même et se ferme aux interventions d’une transcendance,
8 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
12 ignant des puissances lointaines. Toutefois, elle reste liée au rêve d’activité qui tourmente l’Occident depuis des siècles.
13 le ne peut être en soi pensée, et l’homme en elle reste à peu près dénué de réalité, jusqu’au jour où la Fin le pense. Et c’e