1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
1 laires par excellence. Dans les deux cas, Europe reste le nom d’une puissance féminine enlevée à l’Asie, puis fécondée par l
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. III. Le Mythe de Japhet
2 III. Le Mythe de Japhet8 S’il reste vrai que le mythe du rapt d’Europe se trouve traduire les grandes don
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. V. Les étymologies
3 nt ou indirectement, du sémitique ereb, soir. d) Reste notre nom grec, celui de la Fille d’Agénor. Ici, nous sommes sur un t
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
4 . Ajoutez à cela que sous de tels hommes la terre reste encore sans culture, autant par l’inertie de leur tempérament, que pa
5 augmenter la puissance de qui l’opprime. Ainsi il reste pour certain que les gouvernements influent sur le courage ; mais en
6 res aux habitudes de la vie sociale. Mais dans le reste de la partie habitable, là où le sol de l’Europe est uni et son clima
7 l, les provinces de Languedoc et de Gascogne ; le reste de la Gaule, la poitrine ; les bras, l’Italie et la Grande-Bretagne ;
8 l’Allemagne ; la Bohême, le nombril ; et tout le reste de son corps, les autres royaumes et provinces. » Mais la représentat
5 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
9 mps, presque malgré Charles, semble-t-il : car il reste attaché à l’idée à la fois romaine et chrétienne, impérialiste et uni