1 clusions… Dans cette situation fâcheuse, il ne me reste qu’un espoir : celui d’instruire les lectrices tout en amusant les sa

2 Occident, tel était mon dessein central ; et cela reste à mes yeux le vrai sujet, la vraie thèse de mon livre tel qu’il est d

3 esthétiques et sa valeur de tragédie spirituelle. Reste une confuse et diffuse souffrance, quelque chose d’impur et de triste

4 rrons.) La faute est donc consommée. Mais Tristan reste lié par la mission qu’il a reçue du roi. Il conduit donc Iseut à Marc

5 plices d’un même rêve au sein duquel chacun d’eux reste seul ; d’où le crescendo romanesque et la mortelle apothéose. Dualité

6 de ce qui condamne ce désir. Ainsi l’interdiction reste affirmée, et l’objet reste inavoué, mais tout de même il y est fait a

7 . Ainsi l’interdiction reste affirmée, et l’objet reste inavoué, mais tout de même il y est fait allusion, et par là, dans un

8 né et sanctifié, c’est-à-dire réconcilié, l’homme reste un homme (n’est pas divinisé) mais un homme qui ne vit plus pour lui

9 ncompatible avec le clair génie de notre race. Il reste donc d’une part un phénomène étrange, et d’autre part, de fort savant

10 à dire que la lyrique courtoise dont il s’occupe reste à ses yeux et jusqu’à plus ample informé « un assemblage de formules

11 e, dès lors, se trouve séparée de son esprit, qui reste au Ciel. Tentée par la liberté, elle devient en fait prisonnière d’un

12 évaut : … en fait, ce fou désir M’occira, que je reste ou aille par chemins Puisque celle qui peut me guérir ne me plaint …

13 n) inhibe l’amour : tout ce qui touche à la femme reste « impur ». Ce complexe de sentiments œdipiens est d’autant plus contr

14 débauché. » Mais la femme, dans tout cela ? Elle reste objet d’un culte. Considérée comme « source unique de joie et de repo

15 urs décrit comme étant celui de l’homme. La femme reste passive, impersonnelle, pur principe, sans visage et sans nom. Une éc

16 laisse le soin d’affirmer que telle « filiation » reste indémontrable « dans l’état actuel de nos connaissances », reste donc

17 able « dans l’état actuel de nos connaissances », reste donc incroyable jusqu’à nouvel avis. Je cherche un sens, donc des ana

18 e hypothèse soit un jour vérifiée ou non, il n’en reste pas moins que l’origine manichéenne du Roman est attestée par les fra

19 symbolisme du roman courtois. Mais cette analogie reste purement formelle. Tout au plus devait-elle favoriser la confusion mo

20 is consommé. Son long poème inachevé — il nous en reste près de 19 000 vers, mais la mort des amants, quoique annoncée, ne fu

21 êmes termes que l’Éros à l’Agapè… Incompatible au reste , faut-il le préciser, avec cet autre sacrement « perverti » par l’ort

22 nichéen que la Divine Comédie n’est thomiste. Il reste que Gottfried explicite la légende d’une manière toute nouvelle et gr

23 es. » Pour F. Niel, la question tranchée par Rahn reste ouverte. J’ajouterai que les adversaires les plus virulents de cette

24 lan charnel réprimé… L’amour pur, c’est celui qui reste tel dans des circonstances périlleuses, provoquées, et qui utilise l’

25 d’un rapport quelconque entre ces deux réalités. Reste à savoir dans quelle mesure ce rapprochement ne nous est pas suggéré

26 rne du genre, et non pas un simple poème. Il n’en reste pas moins que dans l’ensemble, et si l’on considère surtout le princi

27 e même ensuite, et nos savants. Notre « science » reste donc valable à condition qu’on change le signe de chacune de ses prop

28 n, puisque, comme l’écrit ailleurs Eckhart, l’âme reste l’âme, et Dieu reste Dieu103. L’acte d’amour spirituel est initial, e

29 crit ailleurs Eckhart, l’âme reste l’âme, et Dieu reste Dieu103. L’acte d’amour spirituel est initial, et non final. Pour le

30 historiquement. En théorie cependant l’objection reste possible, et même inévitable. On connaît le casse-tête philosophique

31 rieurs à la naissance de l’amour-passion, il n’en reste pas moins que celui-ci est postérieur à la mystique pseudo-chrétienne

32 d’y voir le rudiment d’un appel mystique, il n’en reste pas moins que l’intoxiqué est avant tout l’esclave de sa drogue. Psyc

33 Elle devient si totalement un seul être qu’il ne reste pas d’autre distinction que celle-ci : Lui demeure Dieu et elle demeu

34 hant : par ce plaisir elle oublie le chasseur, et reste là, et ne poursuit point ; de même celui qui est pénétré d’amour puis

35 seignait que la lumière est la matière divine… Il reste cependant que la doctrine de Milton est bien plus « rationnelle » et

36 la bergère. Voici un trait qui symbolise tout le reste . Au cinquième et dernier volume de ce roman que l’on n’ose nommer un

37 ns des devoirs sacrés en ce bas monde. Il ne nous reste plus rien que la confiance la plus parfaite l’un dans l’autre et la f

38 ssi peu de valeur que mes feuilles de saule. » Le reste de la page, admirable, jusqu’aux fameux orages désirés160. ⁂ « Pour c

39 « On est détrompé sans avoir joui, dit René ; il reste encore des désirs et l’on n’a plus d’illusions… On habite avec un cœu

40 à ce supplice, elle voudrait y passer ce qui lui reste de vie. » 133. Saint Jean de la Croix : « Ô brûlure suave ! » et to

41 tait lui qui avait subi la défaite 169. Il ne lui reste plus qu’à faire la preuve de sa vaillance, etc. Tout ceci pour le bea

42 ing, fut tué par un boulet de canon ? » ⁂ Il n’en reste pas moins que les conventions de la guerre et de l’amour courtois ont

43 d’élection tandis que pour saint Paul, celui qui reste vierge « fait mieux » que celui qui se marie, même chrétiennement. L’

44 çaux et des romans bretons, l’adultère de Tristan reste une faute189, mais il se trouve revêtir en même temps l’aspect d’une

45 n ne se décide jamais que pour son compte — et le reste est indiscrétion. Mais je ne pouvais écrire un livre entier sur la pa

46 riage. Alors, si je ne puis l’atteindre, il ne me reste que la révolte contre ma condition de créature. ; et au contraire, si

47 ppe. L’empire du mythe faiblit d’autant ; et s’il reste improbable qu’il s’abolisse jamais sans laisser de traces dans le cœu

48 ransformer le milieu naturel (d’où la technique). Reste à savoir si le christianisme, accueilli par les Indes ou la Chine, y

49 nvention courtoise (elle tranche nettement sur le reste de la légende qui est cléricale et féodale). Cette analogie avec Tris

50 érimenter… c’est l’immanence d’un Dieu qui est et reste transcendant. » Mais alors, lorsqu’une créature aime son Dieu, l’obst

51 pas être, comme on le voit en Russie, où la pièce reste masculine. Ensuite, le passage de Vierge à Dame ou Reine ne va pas de

52 ès pénétrantes, souvent très arbitraires. Mais il reste que l’histoire littéraire et religieuse n’a fait que confirmer, plus

53 doctrines ont certains points de ressemblance. Il reste que saint François, s’il fut influencé par l’atmosphère de la religio

54 our comme nous mourons de soif » (p. 73). Il n’en reste pas moins que l’« amour-trépas des Arabes paraît correspondre à la mo

55 leur immense popularité à l’époque, mais il nous reste les lettres de ce Tristan châtié et repenti à cette Iseut devenue abb

56 hez Tristan et quelques-uns des grands mystiques. Reste à voir ce qu’elle peut produire quand elle entre en composition — si

57 ble, et s’il est vrai que l’Autre en tant que tel reste aux yeux d’un amour exigeant le mystère le mieux défendu, — Éros et A