1 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
1 t sa chute grandiose dans un Enfer dont encore il reste le Roi. En l’an 547, le concile de Constantinople le déclare éternel.
2 porte la marque diabolique. Mais Nobody lui-même reste Quelqu’un. Il en sait plus que nous sur les mystères du monde et le s
3 r lui-même, Satan ne peut rien faire, mais il lui reste une possibilité : c’est de nous inciter à faire abus de notre liberté
4 vous savez de combien vous le volez : une vérité reste juge entre vous. Mais si le démon vous induit à fausser la balance el
2 1942, La Part du diable (1982). Hitler ou l’alibi
5 rir cette nausée, il n’y aurait rien de tel qu’un reste de bouteille… Combien de peuples voudront boire encore ? Encore un pe
3 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
6 bas, le tentateur, l’accusateur et le menteur. Il reste à dépister Légion, celui qui dit toujours : ce n’est pas moi, c’est l
7 tes, mais si nous en sommes persuadés, il ne nous reste plus qu’à combattre le mal, en nous et hors de nous, c’est le même ma
8 lissement de lois humaines : dans ces deux cas il reste libre, non pas au nom de la Liberté abstraite, mais au nom de sa voca
9 âme de la cinquième colonne du siècle, mais Satan reste l’essence même de la Cinquième Colonne au siècle des siècles. Enfin —
4 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
10 sie est tributaire de la morale bourgeoise : elle reste hélas au niveau de l’ennemi. Sa condamnation de la morale participe d
11 pardonne beaucoup à celle qui a beaucoup aimé… Il reste à voir si cet amour, dont on prétend qu’il permet tout, est véritable
12 Pourquoi s’éloigne-t-il de l’image adorée ? S’il reste libre, ne va-t-il pas vous échapper ? Et si vous l’enfermez, ne va-t-
13 s commune de nous faire abuser de notre liberté. Reste la femme, dont l’homme ne se lassera jamais de faire un ange ou un dé
5 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
14 e et le vouloir divin, tout indigne encore que je reste , et vulnérable dans ma chair, j’ai vaincu, me voici relié ! Avec les