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régionales. C’est dans la mesure où nous voulons
rester
cela, et le devenir de mieux en mieux, que nous serons grands devant
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dent. Notre seul espoir, à nous Suisses, c’est de
rester
et de devenir de mieux en mieux le seul espoir de l’Europe déchirée.
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otes prises au retour de ce petit voyage ; il est
resté
merveilleusement vivant dans ma mémoire, et je ne puis plus séparer s
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e le langage des écrivains était devenu, ou était
resté
, le langage d’un très petit nombre, ou d’une caste, alors que dans le
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ants traînants, tout cela sera balayé. Il ne vous
restera
que la foi. Mais la vraie lutte commence là. » Et je crois toujours q
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e lecteurs : un Gide, un Claudel… Ils sont rares.
Restent
les médecins de famille : ce n’est pas nouveau. Et les psychanalystes
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vedette par des lumières et les autres composants
restent
dans la pénombre… Je précise encore que la salle est ouverte, et que
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mplicités qu’il a su ménager dans nos cœurs. Pour
rester
fort, il faut en premier lieu vaincre l’adversaire en soi-même, et po
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rachat du péché d’origine ? À nous maintenant de
rester
vigilants, exigeants et vigilants, même et surtout sur des points qui
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ndications conformes au Décalogue. Tout cela doit
rester
« occasionnel », mais dans le sens du hic et nunc chrétien. Or il se
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nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons
rester
neutres (9 mars 1940)x Comment justifions-nous, dans cette guerre-
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. Vient ensuite l’argument juridique. Nous devons
rester
neutres, nous dit-on, parce que les traités nous y forcent. Et certes
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nous ne la prenons pas au sérieux, c’est que nous
restons
mobilisés. Je ne discuterai même pas ici l’argument de l’impartialité
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algré tout j’affirme que la Suisse a le devoir de
rester
neutre, ce ne peut donc être qu’au nom d’une réalité qui ne sera ni m
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ère comme une mesure d’intérêt général en Europe.
Rester
neutres au nom d’un traité signé à Vienne il y a plus de cent ans, so
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nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons
rester
neutres », La Coopération, Bâle, n° 10, 9 mars 1940, p. 1-2.
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il s’agit de les prendre au sérieux si l’on veut
rester
réaliste. Épargnés jusqu’ici par les bombardements, nous sommes engag
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ont encore à l’écart de la guerre, et peut-être y
resteront
-ils. Ils ont encore ce bref délai de grâce dont je parlais aux Hollan
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ntre tout, grâce à un sens communautaire qui doit
rester
en exemple à l’Europe. C’est l’esprit de liberté des communes du Goth
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dire quelque chose d’absolument inviable s’ils en
restent
là, ou de radicalement antisuisse s’ils progressent. Les « libéraux »
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ée. Taire nos opinions, aujourd’hui, ce n’est pas
rester
neutres, c’est accepter d’être neutralisés moralement. Le Conseil féd