1 ocratiques, reste une lutte idéologique et qui le restera en dernière analyse, même si la guerre physique doit intervenir entre

2 d Cripps, Disraeli. Mais beaucoup de combinaisons resteront stériles. Un mélange de catholiques et de juifs ne donnera pas des pr

3 ont tous en commun, précisément, leur volonté de rester chacun soi-même à sa façon. Voilà ce qui les distingue en bloc des Ru

4 e plus fort, pour nous unir, que cette passion de rester différents, indissolublement liée pour nous à la pratique des liberté

5 ’il faut maintenant nous fédérer. Si nous voulons rester Français, Vaudois, Écossais ou Saxons, si nous voulons rester nous-mê

6 ais, Vaudois, Écossais ou Saxons, si nous voulons rester nous-mêmes, il n’y a plus une minute à perdre : il nous faut combiner

7 les peuples qui se disent libres et entendent le rester  ; de l’autre, ceux qui vivent en régime totalitaire, et qui n’ont pas

8 eu clairs. Les intérêts économiques, par exemple, restent conjecturaux, souvent mal définis : on pourrait s’arranger sur ce pla

9 près de Lawrence et d’une classe d’écrivains qui restera sans doute la plus typique de notre siècle. Ils sont héros par autre

10 ment stylisé. Nés d’un besoin de s’expliquer, ils restent obscurs sur un point décisif : celui des fins dernières que poursuiva

11 en cachette à 16 ans. Les deux intellectuels qui resteront toujours si furieux de l’avant-garde littéraire, l’un tourné vers l’h

12 nés, et que souvent leurs camarades d’équipe sont restés les seuls à connaître. Ils se retournent vers le monde des autres, et

13 r de m’en aller d’ici, au moment où ma volonté de rester s’effondrera. À cela près, ce serait le complet déterminisme — et c’e

14 RAF, non les grands as. « C’est pourquoi je suis resté dans le rang, et j’ai servi de mon mieux… » L’idée même de créer quel

15 colonialisme soviétique, une Europe persistant à rester désunie doit rapidement périr par asphyxie à la fois physique et mora

16 e : « Je veux bien me marier, mais à condition de rester célibataire ! » Logiquement, cette attitude est absurde ; pratiquemen

17 en commun pour mieux fonctionner, et ce qui doit rester autonome pour mieux vivre et créer. Économiquement, cela se traduit p

18 après cela de l’ignorance presque totale où sont restés nos peuples et leurs élites, devant le problème européen ? Avant tout

19 les, puis économiques et sociales, qui par nature restent invisibles à l’œil des agences de presse, mais sans lesquelles rien n

20 ’en sortir. Il vit dans la joie, celui qui peut y rester . On y accède par quatre degrés très doux, mais là n’entrent ni vilain

21 le « bonhomme » Barlaam. La version qui nous est restée , en provençal du xive siècle, quoiqu’orthodoxe dans les grandes lign

22 arée au concept chrétien du mariage. Mais il nous resterait indifférent s’il n’avait gardé dans nos vies, au travers des nombreux