1 olutions comme le service civil… Mais nous sommes restés des groupuscules parce qu’il nous manquait ce que j’appellerais un le

2 sayé avec quelques amis de faire des calculs ; il restera bien vingt millions d’hommes qui survivront, dans les angles morts de

3 n du siècle. Or nous dépendons à 80 % du pétrole. Restera donc un déficit de 50 %. Autrement dit ce sera la crise totale. Nous

4 ais, le nucléaire est rentable et sans danger, je resterais contre, parce que cela entraîne une société de plus en plus centralis

5 ennes… » On sait que la proposition Briand devait rester sans suite : non seulement parce que les États membres, dans leurs ré

6 antage à des fins politiques, d’autant que l’URSS restera le client le plus important pour le blé américain dans les années de

7 rez gagné le monde au prix de votre âme, que vous restera-t -il à aimer ? » q. « Questions gênantes mais fécondes », Construire,

8 révélateurs d’une cause difficile à défendre) est resté jusqu’ici sans effets. Aux objections, si fortes soient-elles, présen

9 es différences, quoique réelles et intéressantes, restent superficielles si on les compare à l’importance de ce que nous avons

10 nt d’un régime si longtemps désiré, tant que l’on restait parmi les seuls à ne l’avoir point encore réalisé. Mais une fois cela

11 années qui viennent la population de l’Europe va rester stable, elle va peut-être même reculer, tandis que dans le même temps

12 e à des fins politiques, d’autant plus que l’URSS restera leur client le plus important, les années de mauvaise récolte… Denis

13 tit cap du continent asiatique ? Ou bien l’Europe restera-t -elle ce qu’elle paraît, c’est-à-dire la partie précieuse de l’univers

14 pas grand-chose, sinon de répéter que force doit rester au droit. C’est ainsi qu’aux Panzerdivisionen qui venaient de réoccup

15 Lovins, les travaux de Hambourg… Beaucoup en sont restés à ce stade archaïque de l’innocence nucléaire. Je ne pense pas avoir

16 atisé par Hiroshima ». Car eux, semble-t-il, sont restés insensibles à cet incident : Zurich, Baden, voyons, ce n’est pas le J

17 la finitude. Le mérite historique du club de Rome restera d’avoir forcé notre attention sur les limites, comme fondement de la

18 abîmes et des cavernes au sombre rayonnement, qui restera mortel longtemps après la fin de l’histoire humaine. Tel est le choix

19 es Nodier, fait la synthèse : Ses cheveux blonds restaient légèrement bouclés et flottants, comme le dernier attribut de la jeun

20 ai vu que le trône avait disparu et que la France restait encore. » 3°. À ceux qui l’accusent d’une troisième palinodie lorsqu’

21 ue ces trois ouvrages ont été tirés de manuscrits restés inédits qui remontent à 1806, et que leurs dates de publication sembl

22 la liberté, déposé sur le seuil de notre ère, est resté sans effets sur les destins du siècle, sort qu’il partage avec la plu

23 Lausanne sur les « intellectuels européens » est resté nul, sinon même négatif. Ceux qui étaient engagés là n’ont pas été re

24 e pour ma part je désapprouve, mais ses arguments restent très dignes d’être discutés. Sur un ou deux points, je trouve le nouv

25 aincants. Ainsi la phrase : « Conscients que seul restera libre celui qui use de sa liberté », ne me paraît pas évidente à prem

26 alogue devenait littéralement vital. Et Kowarski, resté en relations étroites avec les milieux scientifiques américains et eu

27 l est inévitable qu’elles se produisent. Si elles restent , disons à peu près « à la taille de l’homme », peut-être suffiront-el

28 de jacobins fiers de l’être et qui entendaient le rester à jamais envers et contre toute réalité. Aujourd’hui, c’est le raz-de