1 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
1 Plus Suisse que nature Que la Suisse soit restée aussi suisse m’a paru proprement incroyable. Je ne trouve ici d’autre
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
2 s raison, mais quand les raisons de ne rien faire restent les mêmes quoi qu’il arrive, c’est qu’elles traduisent une certaine f
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Quatrième lettre aux députés européens : En lisant le pamphlet du Labour Party (18 août 1950)
3 ie et de la Nouvelle-Zélande » (seuls mentionnés) restent unis par une même langue. Si c’est celle du pamphlet, tremblons pour
4 n dépendent plus que pour la forme et le détail ? Restent les tarifs douaniers, les monnaies mal couvertes, et les calibres dif
4 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
5 y opposer ? Vous pouvez passer outre, et jurer de rester où vos parlements vous envoient. (Les ministres dépendent aussi de vo
6 ministres dépendent aussi de vos parlements, qui restent les seuls juges d’un conflit éventuel.) Si vous acceptez cela, vous a
7 je les supplie maintenant, au nom de l’Europe, de rester au contraire, de ne point se séparer avant d’avoir dressé, pour notre
5 1953, Journal de Genève, articles (1926–1982). Aller et retour (21 mai 1953)
8 ontestable, c’est qu’aussi longtemps que nos pays resteront désunis et même rivaux, ils seront incapables de soutenir la concurre
9 ojet similaire, à Strasbourg le 10 mars 1953.) Il restait à le faire ratifier. L’opposition se montra violente. Dans quelques v
6 1956, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Oserons-nous encore… » (6 novembre 1956)
10 enant, non je n’oserai pas demander pardon d’être resté paralysé devant leur appel, tant que je n’aurai pas fait tout ce que
7 1958, Journal de Genève, articles (1926–1982). Hommage à Pasternak (31 octobre 1958)
11 mystique, à la misère du siècle. Il n’a pas voulu rester seul. Quelques-uns des plus grands l’ont osé. Pascal et Kierkegaard d