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cabine de la cale par une espèce de trappe. Nous
restons
seuls sur le pont, ma femme et moi, à entasser nos valises tant bien
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a main. Tant d’autres disent : Allons-nous-en, et
restent
faute d’imagination. Et pourtant il suffit de bien peu pour partir :
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er d’un « Parisien » qui manifeste l’intention de
rester
ici tout l’hiver ? C’est plutôt en été qu’on vient chez nous, me fait
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ou deux, se demandera-t-on comment nous avons pu
rester
si parfaitement aveugles ? Ou bien est-ce ma gêne qui est absurde ? E
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Celui-là ou un autre… Je ne lui dis pas qu’il me
restait
en tout et pour tout 2 francs 50 : on ne me ferait plus de crédit che
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son de leur voix, ou le parti qui les délègue. Il
resterait
à expliquer cet état de choses, qui voue les « clercs » à s’agiter da
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que tout ce travail épuisant dans l’inertie soit
resté
absolument vain : il y a eu quelques conversions. Mais c’est tout jus
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e je retrouve dans une pile de notes. La page est
restée
blanche. Et, toute réflexion faite, c’est bien ainsi, et très complet
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t le peuple m’intéresse infiniment. Hier, je suis
resté
longtemps au marché, et j’ai bien regardé comme ils marchandaient et
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contingences présentes. Faites pour durer, elles
resteraient
des « utopies ». Les seuls modèles que nous puissions prétendre offri
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les petits se précipitaient à son caquet. Je suis
resté
un bon moment à contempler cette espèce d’orgie, consommant la ruine
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viendra le second fait : l’équilibre social, pour
rester
sain, mouvant, tendu, doit être orienté constamment par un léger excè
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ensations. La littérature populiste, si elle veut
rester
vraie objectivement, sera toujours terne et même conventionnelle comm