1 1948, Suite neuchâteloise. IV
1 core les traditions intellectuelles et politiques restent les plus marquées. François-Antoine III, mon quadrisaïeul, épouse Hen
2 1948, Suite neuchâteloise. VI
2 le roman, le poème, l’essai, le jeu d’idées — est restée chez nous pauvre ou nulle. Nous n’avons rien tiré de grand ou d’émouv
3 1948, Suite neuchâteloise. VII
3 vie sentimentale est née. Et depuis lors elle est restée lacustre. « Odeur de l’eau — pour toute la vie », écrivait un Paysan
4 ai seize ans. C’est horrible. Mon seul amour doit rester mon secret. Je la guette à midi, quand elle descend dans le cortège d
4 1948, Suite neuchâteloise. VIII
5 ut-il avouer que je la regrette encore ?) Mais je restais là sans mouvement, fasciné par l’aubaine et plus encore ému par ce pe