1
ois et du rocher » (comme dit Vigny) dont ne nous
restent
plus que les peintures rupestres de Lascaux et d’Altamira, l’Europe a
2
des croyants ? Les voies terrestres sont barrées.
Restent
les voies de l’Océan. C’est ici que l’aventure mondiale de l’Europe p
3
méricaine et anglaise ont publié quelques travaux
restés
presque confidentiels, mais dont les conclusions me paraissent très f
4
s un soir, à l’étape, et qui auraient décidé d’en
rester
là. En Asie, les maisons s’assemblent en essaims. En Afrique, les hut
5
de 2 à 3000 habitants. L’église, en Amérique, est
restée
, mieux que chez nous, le centre de la vie sociale d’un village. Elle
6
d’importance mais très typiques de notre Europe,
restent
des signes non trompeurs de la vitalité d’une culture moderne, mêlée
7
s nul doute est celui qui parut le premier et qui
resta
le moins connu : celui d’Émeric Crucé, dont on sait seulement qu’il f
8
ait alors les colonies. Ce plan, faut-il le dire,
resta
sans suite… Un peu plus tard, le comte Henri de Saint-Simon, précurse
9
de mourir, et dont seule la Russie lui paraissait
rester
indemne, attendant son heure… Enfin, Georges Sorel, dans un de ses Pr