1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 ois et du rocher » (comme dit Vigny) dont ne nous restent plus que les peintures rupestres de Lascaux et d’Altamira, l’Europe a
2 des croyants ? Les voies terrestres sont barrées. Restent les voies de l’Océan. C’est ici que l’aventure mondiale de l’Europe p
2 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
3 méricaine et anglaise ont publié quelques travaux restés presque confidentiels, mais dont les conclusions me paraissent très f
4 s un soir, à l’étape, et qui auraient décidé d’en rester là. En Asie, les maisons s’assemblent en essaims. En Afrique, les hut
5 de 2 à 3000 habitants. L’église, en Amérique, est restée , mieux que chez nous, le centre de la vie sociale d’un village. Elle
6 d’importance mais très typiques de notre Europe, restent des signes non trompeurs de la vitalité d’une culture moderne, mêlée
3 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
7 s nul doute est celui qui parut le premier et qui resta le moins connu : celui d’Émeric Crucé, dont on sait seulement qu’il f
8 ait alors les colonies. Ce plan, faut-il le dire, resta sans suite… Un peu plus tard, le comte Henri de Saint-Simon, précurse
9 de mourir, et dont seule la Russie lui paraissait rester indemne, attendant son heure… Enfin, Georges Sorel, dans un de ses Pr