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à des gens de provenances très diverses et qui se
retrouvaient
dans les groupes personnalistes. Tous partaient d’une définition de l
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sphère passionnelle de l’Europe centrale, dont on
retrouve
le climat dans Le Paysan du Danube . En même temps, j’écrivais des e
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dans un bouillonnement d’idées que je n’ai jamais
retrouvé
par la suite. D’une part, nous faisions découvrir, en France, des aut
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ècle par son apparition sont bien connus : on n’y
retrouve
pas, à l’analyse, la moindre trace de sa personne. Il fut ces effets,
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on ne disait pas encore l’État-nation — cherche à
retrouver
par la guerre au-dehors, la tranquillité qu’il n’a plus au-dedans ».
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de Neuchâtelois, de Suisses et d’« étrangers » se
retrouvent
dans les générations antérieures, encore que le nombre d’« inconnus »
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st-il passé ? De deux manières. D’une part, j’ai
retrouvé
à New York beaucoup d’écrivains, d’intellectuels et d’artistes, que j
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ce que nous avions perdu et que nous ne pourrions
retrouver
un jour que si l’Autre était battu… Une idée nous orientait tous : si
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tenir à Montreux au début de septembre 1947. J’ai
retrouvé
là de vieux amis de l’Ordre nouveau, comme Alexandre Marc et Robert A
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se que de le transformer en routine. Il s’agit de
retrouver
constamment, par des voies et moyens qui apparaissent « révolutionnai
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et des agnostiques tels que Robert Aron. On nous
retrouvera
pour la plupart dans le fameux numéro 6 d’ Esprit de mars 1933, inti
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qui implique et appelle deux autres thèmes qu’on
retrouve
dans tous les livres de Starobinski, qu’il s’agisse de littérature, d
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sociétés individualistes devaient, pour survivre,
retrouver
le sens de la communauté. Rougemont condamnait enfin le centralisme e
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p de choses). Chacun doit inventer son chemin. Je
retrouvais
beaucoup de métaphores qui sont déjà dans les psaumes de l’Ancien Tes
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on chemin, je le répète, c’est mon moyen. Là j’ai
retrouvé
des choses qui sont dans Nietzsche, la création de soi en vertu d’une
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lui répondre sans avoir l’organe de Stentor. Nous
retrouvions
l’idéal d’Aristote, qu’il décrit dans sa Politique, l’idéal de Calvin