1 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
1 ait qu’un regard, un certain regard, mais j’ai su retrouver la sensation de ce regard jusque dans des objets — et c’est cela seul
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 e plus inodore des fleuves. Dormir. Sans avoir pu retrouver cette mélodie descendue d’un balcon où chantait la Schumann ; sans av
3 un balcon où chantait la Schumann ; sans avoir pu retrouver le nom de qui l’on a reconduit à sa villa, vers cinq heures à travers
4 s si clairs, arbres et jets d’eau ; sans avoir pu retrouver , des conversations de ce bal, autre chose que la phrase, l’unique phr
5 ici t’attirait donc, sinon l’espoir bien fou d’y retrouver l’émotion d’un miracle imminent. Ou moins encore : l’image, née en rê
3 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
6 s frontières, sortis de la forêt occidentale : je retrouve en eux mon enfance entourée de présences obscures, mon enfance, cette
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
7 almaison ». (Une négligence sans doute, on l’aura retrouvé dans les poches d’un uniforme au retour de la campagne de France.) Le
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
8 res de notre chemin : « Il faut se perdre pour se retrouver  », nous enseigne une doctrine en vérité moins généreuse que ne veut l
9 d’âme, et n’ayant pas écrit une seule note, il se retrouva aux portes de Naples, d’où il n’eut que la force de regagner son logi
10 l’Italie et une certaine qualité de désespoir, je retrouve les contes d’Hoffmann. Mais il s’agit de les vivre plutôt que d’en pa