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de vin, à la lueur d’une bougie. Heureux de nous
retrouver
chez nous, dans notre campement au bout du monde. Confort profond dan
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donner cette partie mal engagée, ma vie, et de se
retrouver
neuf, enfantin, ou tout simplement jeune devant un présent ouvert de
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ois, de certaines de ces feuilles. Je n’ai jamais
retrouvé
ce ton dans le peuple. S’il en paraît parfois, par accident, quelques
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eh bien, les malheurs sont venus de partout. On a
retrouvé
la chèvre. Mais elle est toute changée. « Je l’ai fait couvrir deux f
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ou perdre une place de quatre-vingt-mille pour en
retrouver
une de vingt-quatre-mille ; ou perdre intégralement le peu que l’on a
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ps après notre arrivée, en haut d’une page que je
retrouve
dans une pile de notes. La page est restée blanche. Et, toute réflexi
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excluent en fait. Mais je n’arrive plus du tout à
retrouver
ce sentiment d’absurdité que provoquait en moi précisément, la présen
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airs, dans la rue par exemple. Déjà je ne puis en
retrouver
le souvenir autrement que par un effort de réflexion qui me laisse as
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les yeux bien ouverts ? 16 avril 1934 J’ai
retrouvé
dans Montaigne ce passage dont je croyais bien me souvenir qu’il alla