1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Introduction
1 noux dans un train, il y a longtemps, et que l’on retrouve en classant des papiers, ou à cette émotion d’adolescent ? Ou simplem
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
2 où Platon l’idéalisa, tandis que César devait en retrouver des traces en Gaule. Cette identité primitive, peut-être, cette paren
3 nation, de l’origine et de la délivrance. Et l’on retrouve ici les mêmes significations symboliques de l’Orient et de l’Occident
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
4 niment nos rêves et parfois tel poète. C. G. Jung retrouve les Indiens dans l’inconscient des riches Américaines. Presque tous n
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
5 mite le saut de la conversion, mais au lieu de se retrouver une personne engagée, il est devenu le soldat politique embrigadé. Qu
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
6 happent à ses prises et l’enserrent, — « il ne se retrouve plus » et démissionne. Que l’Histoire décide à ma place, de toute faç
6 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’exploration de la matière
7 lieu à d’infinis débats dans lesquels on pourrait retrouver — et ce jeu n’est peut-être pas vain — l’équivalent des hérésies les
8 n vue d’une abdication, mais au contraire pour se retrouver ensuite élargie, enrichie, et poursuivre ce processus à l’infini sans
9 t sans fond de l’immatérielle Énergie. Voici donc retrouvée la Maya des hindous, au terme d’un voyage dont l’impulsion première a
7 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
10 nserves ; et le cinéma au coin de la rue. Ils ont retrouvé la Nature, pendant le week-end ou les vacances payées. De plus, ils p
11 pourquoi ni vers quoi »81, sans cause ni but. On retrouve ici l’obsession du mouvement pour le mouvement même qui définit la po