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teurs, des groupes d’écrivains, voire des petites
revues
qui expriment ces groupes avec l’intransigeance nécessaire. N’oublion
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n et Dandieu (Paris, 1933) et la collection de la
revue
L’Ordre nouveau (publiée de 1932 à 1937) qui s’inspirait de ces idé
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és des sciences comme nos troupes de théâtre, nos
revues
comme nos écoles d’art et nos radio-télévisions, ne pourront affronte
4
La Suisse, maquette pour une Europe du bonheur »,
Revue
des voyages, Genève, automne 1965, p. 57-59.
5
Zurich 1966, p. 152. 23. Voir numéro 3 de cette
revue
. 24. « Tout ce que nous faisons est au service du peuple, de quel dé
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« Pour une définition nouvelle du fédéralisme »,
Revue
des travaux de l’Académie des sciences morales et politiques et compt
7
s de, « La lecture des Nourritures terrestres… »,
Revue
neuchâteloise, Neuchâtel, 1969, p. 9-10. ad. Réponse au questionnair
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4 et « Précis Ordre nouveau », n° 34, 1936, de la
revue
L’Ordre nouveau ; et mon Journal d’une époque , 1968, p. 107, note
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, un numéro zéro comme celui qui précède dans les
revues
la sortie du numéro 1, le premier numéro officiel. Ce type d’expérien
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’est là qu’il participera à la naissance de trois
revues
: L’Ordre nouveau , au côté d’Arnaud Dandieu et Robert Aron, Esprit
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nuel Mounier et Georges Izard, et enfin sa propre
revue
Hic et Nunc qui regroupe autour de lui des écrivains, des philosoph
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en effet, un article qui avait déjà paru dans la
revue
Esprit et qui constitue, nous fait remarquer M. de Rougemont, « la
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ition de la personne qui ait jamais paru dans ces
revues
personnalistes ». Cet article, « Définition de la personne », dont M.
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epuis ma jeunesse à Paris quand nous fondions les
revues
personnalistes Esprit et L’Ordre nouveau — tout le mouvement pers