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évolutionnaires de France et de Belgique, dans la
revue
Esprit , et dans les cercles de L’Ordre nouveau ? Qu’est-ce que la
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sans illusions. 23. Réponse à une enquête de la
Revue
du christianisme social, sur l’attitude des jeunes protestants devant
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andieu opposait dans un intéressant article de la
Revue
d’Allemagne (oct. 1932), à la conception kierkegaardienne du désespoi
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lle en exige tout : c’est la conversion. 30. La
revue
Esprit publiait, dans son numéro 6 (mars 1933), une confrontation sur
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e revendications En décembre 1932, la Nouvelle
Revue
française publiait un ensemble de témoignages rédigés par de jeunes é
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lution en dépend. Humilité du spirituel Les
revues
bien-pensantes ont trop vanté la primauté du spirituel pour qu’il s’a
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’accroît, l’aigreur des polémiques s’accroît, les
revues
littéraires deviennent des tribunes libres où s’expriment les tendanc
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revendications que publiait en 1932, la Nouvelle
Revue
française, manifesta pour la première fois l’existence de cette « tro
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’Ordre nouveau , tel qu’on peut le suivre dans la
revue
qui paraît sous ce titre depuis le mois de mai 1933, est essentiellem
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s logomachies dialectiques qui font le charme des
revues
communistes. Rien dans ces textes pour flatter les littérateurs. Rien
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tuel », nous retrouvons cette affirmation dans la
revue
Esprit . S’agit-il là, encore, du spirituel comme acte ? Certes, Emm
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acte ? Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la
revue
, définissait dès son premier numéro une conception spiritualiste qui
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t est d’inspiration spécifiquement chrétienne. La
revue
a d’ailleurs franchement pris position dans un numéro spécial intitul
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itre n’évoque-t-il pas un souvenir fameux ? Cette
revue
jouera-t-elle un rôle comparable à celui des Cahiers de la quinzaine
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du mot « esprit » dans les jeunes groupes et les
revues
non conformistes. (Les journalistes bien-pensants, de L’Aube à Figar