1
sans illusions. 18. Réponse à une enquête de la
Revue
du christianisme social, sur l’attitude des jeunes protestants devant
2
andieu opposait dans un intéressant article de la
Revue
d’Allemagne (oct. 1932), à la conception kierkegaardienne du désespoi
3
lle en exige tout : c’est la conversion. 23. La
revue
Esprit publiait, dans son numéro 6 (mars 1933), une confrontation s
4
de revendications En décembre 1932, la Nouvelle
Revue
française publiait un ensemble de témoignages rédigés par de jeunes é
5
lution en dépend. Humilité du spirituel Les
revues
bien-pensantes ont trop vanté la primauté du spirituel pour qu’il s’a
6
’accroît, l’aigreur des polémiques s’accroît, les
revues
littéraires deviennent des tribunes libres où s’expriment les tendanc
7
revendications que publiait en 1932, la Nouvelle
Revue
française , manifesta pour la première fois l’existence de cette « tr
8
tuel », nous retrouvons cette affirmation dans la
revue
Esprit. S’agit-il là, encore, du spirituel comme acte ? Certes, Emman
9
acte ? Certes, Emmanuel Mounier, directeur de la
revue
, définissait dès son premier numéro une conception spiritualiste qui
10
est d’inspiration spécifiquement chrétienne. La
revue
a d’ailleurs franchement pris position dans un numéro spécial intitul
11
itre n’évoque-t-il pas un souvenir fameux ? Cette
revue
jouera-t-elle un rôle comparable à celui des Cahiers de la quinzaine
12
tombe pas sur des hommes « libres » !) À lire les
revues
et les hebdomadaires de gauche ou de droite, rédigés par des intellec
13
ille c’est l’héritage. 80. Les lecteurs de cette
revue
savent que la nation n’est une expression de l’universel qu’en raison
14
ontraire. Qu’un Ribbentrop, lecteur assidu de nos
revues
, ait volé à l’une d’elles le terme d’« Ordre nouveau », aux fins que
15
logne, d’Italie, de Yougoslavie, du Danemark. Des
revues
personnalistes viennent d’apparaître, deux en Suisse, une en Angleter