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t des morts, pour peu qu’il vienne à s’accentuer,
risque
de nous conduire un jour par une voie directe au fascisme, une certai
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et de caractères bien trempés », nous courons le
risque
d’oublier que la Réforme n’est pas faite pour l’homme d’abord. À forc
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, une révélation totale de l’humain dans tous ses
risques
matériels et spirituels, impossibles ailleurs de nos jours, et, peut-
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ntagion des idéologies nouvelles. Nous courons le
risque
d’être absorbés économiquement, divisés racialement, manœuvrés morale
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et nous ramènent à notre loi normale ; la loi du
risque
et de l’effort tenace. Ces menaces ne sauraient surprendre et démoral
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sur un terrain miné. Je sais d’ailleurs ce que je
risque
. Ce qui me permet d’approuver pleinement cette déclaration de Spittel
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t la richesse ; au comble de sa gloire, et de son
risque
. Elle n’a jamais été moins neutre, moins confinée dans ses moyennes,