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e mettre en valeur ce qui nous est commun ; qu’on
risque
ainsi de nourrir les préjugés, et de forcer, par esprit de symétrie,
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ère », acceptant les passions et les corps à tous
risques
pour l’âme et l’esprit, en a tiré le principe d’une possible grandeur
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rté en la cherchant, en acceptant d’envisager ses
risques
et de les courir d’abord en imagination. Je propose une idée renouvel
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aire le progrès véritable dans l’accroissement du
risque
humain… Mais il y a trop à dire, et d’autres vont parler. Je n’étais
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ne formule du progrès, qui est l’accroissement du
risque
humain ; secret de notre ordre et aussi de notre désordre ; vertu de
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parable. Qu’un tel régime n’aille pas sans grands
risques
, toutes nos guerres le démontrent à l’envi. Mais le risque de courts-
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outes nos guerres le démontrent à l’envi. Mais le
risque
de courts-circuits ne doit pas entraîner la suppression des installat
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une culture de la liberté, et qui trouve dans les
risques
qu’elle assume, qu’elle fomente à plaisir comme pour mieux s’éprouver
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ne formule du progrès, qui est l’accroissement du
risque
humain ; et ce ne sont pas seulement les secrets de notre ordre, mais
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rté pour le Grec, c’est la critique frondeuse, le
risque
individuel ; pour le chrétien, c’est un état de grâce, une dispositio
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ssionnant, dont il nous faut tâcher d’évaluer les
risques
angoissants et les chances admirables. Je voudrais proposer quelques
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es possibilités, pour chaque homme, de courir son
risque
personnel, de donner un sens à sa vie tant de travail que de loisir,
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rté pour le Grec, c’est la critique frondeuse, le
risque
individuel ; pour le chrétien, c’est un état de grâce, une dispositio
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ssionnant, dont il nous faut tâcher d’évaluer les
risques
angoissants et les chances admirables. Pour ma part, je voudrais prop
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rté pour le Grec, c’est la critique frondeuse, le
risque
individuel ; pour le chrétien, c’est un état de grâce, une dispositio
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ssionnant, dont il nous faut tâcher d’évaluer les
risques
angoissants et les chances admirables. La crise de notre civilisation
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nature des deux dangers majeurs que la technique
risque
de créer dans ce siècle : le danger — que je crois illusoire — de la
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pessimisme général, que l’invention de la bombe H
risque
de transformer en panique planétaire ? Si je ne partage nullement ce
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nteurs et 2° que c’est alors que nous courrons le
risque
d’être spirituellement soumis à nos machines, étant dressés d’avance
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, mais que le temps modifie fatalement, créant un
risque
permanent de dissonance. C’est le mythe d’un amour qui méprise l’épre
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s, car je sens qu’on écoute mes téléphones.)40 Le
risque
individuel prend sa place normale dans le risque collectif. Cet accor
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risque individuel prend sa place normale dans le
risque
collectif. Cet accord supprime la réflexion sentimentale sur son prop
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le rythme de l’innovation à tout hasard et à tous
risques
. Bref, les inventions les plus remarquables et « inouïes » sont désor