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s sont embrumés et en état de transe. La décision
risque
de n’être pas excellente. La passion, d’autre part, est une projectio
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et saine doctrine, besoin de sécurité et goût du
risque
, conformité qui maintient les valeurs, originalité qui les conteste e
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l’éviter. Mais, d’autre part, l’amour tout entier
risque
de disparaître dans le monde hygiénique et froidement rationnel qu’es
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ionnel et statistique qui évacue toute passion et
risque
bien d’évacuer aussi le sens même de nos vies et des rapports humains
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dentale de l’homme , en tant qu’accroissement des
risques
humains, comme le montre la science, qui est à double tranchant. Ou b
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roissante. Aujourd’hui, il constate que la nature
risque
de succomber à l’industrie, qui la pille sans le moindre scrupule, pu
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ns nous-mêmes qu’à ce prix, qui est d’assumer les
risques
de notre différence personnelle ; et par là même, non point en revêta
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reuses et précises prédéterminations, et un grand
risque
, par définition mal défini, celui de devenir soi-même, par quelque di
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re, la Puissance et la Liberté, la Sécurité et le
Risque
, la Régularité et la Surprise, l’Orthodoxie et l’Hérésie, la Traditio
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s cultures jusqu’à nous) et seule elle a couru le
risque
de promouvoir l’originalité de la personne, d’inciter à l’initiative.
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s, mais aussi des régulations naturelles, d’où le
risque
majeur de violer, d’une manière irréversible, les conditions de la vi
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mpare les promesses aux réalités et déclare à ses
risques
et périls : « Le Roi est nu. » Il n’en va plus de même lorsque l’info
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rogramme est une fuite devant le réel, devant les
risques
de la liberté, donc devant la liberté elle-même. Un jeu parfait de no
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e ou liberté (c’est-à-dire sécurité collective ou
risques
personnels) comme fin de la cité —, nous découvrons en chacune d’elle
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respond à l’angoisse de l’homme actuel devant les
risques
de la participation réelle, et à son désir d’un ordre automatisé.
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, mais que le temps modifie fatalement, créant un
risque
permanent de dissonance. C’est le mythe d’un amour qui méprise l’épre