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ger par un autre pays. Il n’empêche que devant le
risque
d’une guerre nucléaire, devant cette possibilité parfaitement réelle,
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itent pas à s’affronter par les armes, courant le
risque
non nul de déclencher les réactions en chaîne d’une guerre mondiale e
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as rigoureux dans l’énoncé du thème, on court des
risques
importants. On entretient en premier lieu l’illusion économiste, cell
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uloir entrer dans la discussion très complexe des
risques
et des avantages de cette politique typiquement suisse depuis les déb
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ssance à tout prix et le besoin de liberté à tous
risques
, l’humanité se divise en deux camps bien tranchés : c’est en chacun d
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e universelle des États-nations, c’est-à-dire les
risques
de guerre. Pluton est maître des Enfers, il est aveugle comme les tau
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répète cette phrase : « Vivre, c’est prendre des
risques
! » Il s’agit de savoir quels risques on prend. Nous ne prendrions pa
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prendre des risques ! » Il s’agit de savoir quels
risques
on prend. Nous ne prendrions pas le risque ni les uns, ni les autres,
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quels risques on prend. Nous ne prendrions pas le
risque
ni les uns, ni les autres, de sauter du 50e étage d’un building à New
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tries. Je demande à savoir pourquoi l’on prend ce
risque
, de dimension sans précédent dans toute l’histoire des civilisations.
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sécurité garantie par le courage d’affronter les
risques
; — l’union solide ayant pour fonction de garantir l’autonomie de ses
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ésormais doit devenir action, sinon elle court le
risque
de n’être bientôt plus qu’une note en bas de page d’une chronique de
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ment ce qui nous manquait le plus) on courrait le
risque
d’aboutir à un « fascisme à la française ». Préconiser une chose, ou
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de lutte comparables aux siens, ce fût courir le
risque
de perdre, pour survivre, les raisons de vivre. (Et propter vitam, et
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décolonisation au milieu du xxe , ils courent le
risque
d’être occupés demain, non seulement militairement, mais économiqueme
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posséder. Il ne reste qu’à la diviniser. Mais on
risque
par la suite d’assimiler toute femme aimée à la mère, c’est-à-dire à