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ique et « formidablement ennuyeux » — un idéal de
risque
qui redonne à toutes choses leur vivante réalité. Mais tout ceci, à q
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faut être créé pour cette atmosphère, sinon l’on
risque
beaucoup de prendre froid. La glace est proche, la solitude énorme, m
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ouvait tous les symboles de la vie dangereuse, du
risque
, du triomphe conquis par la dureté. Mais l’a-t-il épuisé ? Il y a dep
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it-il la nostalgie d’une vie qui comporterait des
risques
extérieurs. Mais c’est là se contenter à bon marché, et personne ne c
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Deux chances sont encore offertes aux amateurs de
risques
authentiques : l’aviation et l’alpinisme. On commence à nous donner q
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rs, puisqu’elle récusait à la fois la charité, le
risque
, l’abandon et la divine légèreté, c’est-à-dire, qu’elle récusait la g
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ui signifie la révérence, mais comme on craint le
risque
, que Jésus n’a jamais craint. Et c’est en quoi elle révèle la faibles
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faire intervenir dans notre vie une recherche qui
risque
surtout d’être nuisible à la vie ? Bornons-nous à l’utile. Bornons-no
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en ce sens que dans le monde bourgeois, privé de
risques
et d’aventures réelles, il représentait une évasion, une revanche néc
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ur une révolution ; dans une époque où l’humanité
risque
de mourir pour la réalisation même de ses désirs matériels, dans cett
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ée redevient un danger, un facteur de choix et de
risque
, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas : le risque es
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us un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas : le
risque
est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle ! Expression curieuse
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asion, d’une démission ; qu’ils n’ont pas fui les
risques
et qu’ils ont exposé leurs vies. Enfin, qu’ils sont animés par une fo
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révisible, toujours aventureuse. Elle vit dans le
risque
et dans la décision, au lieu que l’homme des masses vit dans l’attent
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il exerça sur les prodromes de l’hitlérisme.) Les
risques
qu’elle entraîne sont proprement incalculables. Qui donc voudra les e
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ophes qui devraient effrayer le chrétien, mais le
risque
plus immédiat de faillir à sa vocation. Ces réflexions nous serviron
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imat de l’esprit ? L’esprit est drame, attaque et
risque
. Et l’on peut douter qu’ils y croient, ceux qui flétrissent le matéri
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évanouissent devant l’effroi du choix concret, du
risque
, dans la passion du désespoir total. Maintenant, tu vas témoigner de
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mais c’est le sort commun, tu ne cours pas grand
risque
. Si tu dis non, si tu agis, elle te tuera peut-être, quitte à fleurir
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réalité brutale, dans son sérieux dernier, et son
risque
absolu, ce qu’est la solitude dont Kierkegaard a témoigné, il n’appar
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où nous pensions pouvoir nous abriter contre son
risque
salutaire. M. Bolle a réparti les fragments traduits en trois rubriqu
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que trop portés à corriger et à « humaniser », au
risque
d’« évacuer la Croix ». Tant qu’on n’a pas envisagé la doctrine de la
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itiative aboutisse, il faut qu’elle représente un
risque
autant et plus qu’une prudence, il faut qu’elle soit portée par une p
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soumettre ou sortir. S’il se soumet, il court le
risque
d’obéir aux hommes plutôt qu’à Dieu. S’il sort, c’est avec amertume,
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ulle garantie de sécurité égale ou supérieure aux
risques
par elle-même créés et entretenus. Absurde, impossible et réelle, la
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aujourd’hui certaines causes du péril où l’humain
risque
de s’anéantir, et nous disons : — ce serait trop bête ! Nous venons d
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sécurité à tout prix et la soif de liberté à tous
risques
, le choix de l’espèce sera fonction de la chose la moins prévisible d