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e, et bien moins encore la synthèse. Elle veut le
risque
permanent, l’actualité permanente. Elle provoque sans répit cette mis
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se dissout dans un processus qui nie l’acte et le
risque
. Il n’y a plus qu’à compter un, deux, trois, comme le dit Kierkegaard
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que sans « médiation » et comportant par suite le
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personnel, le choix et l’acte, une sorte de « contre-Hegel » radical,
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n philosophe, qu’un moraliste, parle de choix, de
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et d’acte, ces mots désignent des réalités éthiques qui n’ont rien de
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éthiques qui n’ont rien de commun avec l’acte, le
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et le choix dont parle la théologie dans sa dialectique absolue. Il n
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dire d’une possibilité qui n’est pas nôtre. Et le
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permanent, c’est alors celui qu’encourt l’homme jeté par la révélatio