1 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). Condition de l’écrivain (I) (15 février 1937)
1 du philosophe, par exemple. Ce qui ne va pas sans risques graves, pour la plupart. Tout cela, que je résume à grands traits, me
2 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
2 Plus sociale que religieuse, dira-t-on ? C’est un risque . Mais c’est aussi une possibilité d’action spirituelle constamment ma
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Troisième lettre aux députés européens : L’orgueil de l’Europe (17 août 1950)
3 e à travers vous, dans l’angoisse et l’espoir, le risque et la grandeur d’une liberté nouvelle. Que vous le sachiez ou non, vo
4 , et cette conscience inquiète aussi, et ce grand risque de la liberté, tout cela qui vous délègue en ce lieu décisif, dans l’
4 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
5 un pavillon d’exposition. On ne court plus que le risque normal d’une « compétition pacifique ». Il est temps de courir le ris
6 ompétition pacifique ». Il est temps de courir le risque de la paix ! Soyons francs : tout cela repose sur l’hypothèse d’un ch
5 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
7 is qu’on aille. Le progrès est l’augmentation des risques humains, c’est-à-dire des possibilités de choix laissées à chaque ind
8 que cela veut dire ? C’est en somme une morale du risque assumé, de l’action, orientée par l’esprit, et de la vocation personn