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ous les Européens, notre commune dignité et notre
risque
le plus cher. Telles sont nos maladies. Telles sont nos forces. S’il
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doit prendre conscience de ses conditions, de ses
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. Je crois à la vertu de la prise de conscience : c’est d’une part le
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ie comme telle. Une passion d’expérimenter à tous
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peut la définir. Combien de seuils et de limites n’avons-nous pas for
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rt, mais aussi et peut-être surtout, celle de nos
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personnels, des occasions et des moyens de nous décider nous-mêmes, d
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l’entraîner dans des tourments auxquels lui-même
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parfois de succomber. « Qui peut comprendre, écrit-il, cette contradi
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e mouvement que le moindre doute fait échouer, ce
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pur dans lequel on peut sombrer, mais faute de l’oser, on n’a rien3.
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eux d’une dialectique tout intérieure. On sent le
risque
de l’entreprise : celui de l’ingéniosité. C’est le risque technique,
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e l’entreprise : celui de l’ingéniosité. C’est le
risque
technique, pour ainsi dire, de toute « communication indirecte ». Et
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doute, ou même nié ; dans la mesure où cet enjeu
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, après tout, d’être purement imaginaire. À cela, nous ajouterons l’in
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uve plongé dans une double incertitude et dans un
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permanent. Il n’est pas de méthode éprouvée ni de raisonnement qui pu
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un chemin qui demeure invisible tant qu’on ne se
risque
pas à y marcher. Cette « lumière sur mon sentier », dont nous parle u
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, dans certains cas, à la morale. C’est courir un
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absolu. Quelles aides, quels repères, quels principes directeurs nous
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s masses ? Ou bien sommes-nous prêts à courir les
risques
de la liberté ? Ces questions sont parmi les plus graves qui se posen
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liberté dans la recherche et l’acceptation de ses
risques
supposent une belle confiance dans les pouvoirs de l’homme et dans l’
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tre consentis par les uns et les autres. Certains
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doivent être courus. Les refuser pourtant serait tout perdre, à coup
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nos jours une exception notable, une aventure, un
risque
financier ? ⁂ À la question que je citais au début, je répondrai main
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crise de croissance, l’échec de l’Aventure ou un
risque
nouveau. Préhistoire La préhistoire de la technique va des début
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nt à savoir si cela représentera un progrès ou un
risque
nouveau, voilà qui nous conduit à reconsidérer le sens et la nature f
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elui-ci n’est-il pas simplement l’augmentation du
risque
de l’homme en tant que personne, qui est le risque de la liberté ?
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isque de l’homme en tant que personne, qui est le
risque
de la liberté ? 32. L’examen des circonstances qui ont produit les
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ifie sa servilité envers Staline en invoquant les
risques
qu’il courait. C’est justifier Vichy et, du même coup, condamner tout
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ervilité spontanée. Celle-ci étant acquise, K. ne
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plus grand-chose à exiger « l’autonomie » d’esclaves aussi rigoureuse
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our bien nous montrer qu’il a compris les ordres,
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une critique prudente d’un argument de K. (Ce dernier s’en déclare en
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la proclamait vitale. Insoluble problème, et les
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sont graves. Car ou bien tout se défait ; ou les « crimes de Staline
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n’en va pas ainsi de la Suisse. Ce pays court le
risque
d’abuser d’une neutralité justifiée, et scrupuleusement pratiquée. Il
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nir pacifique, mais aussi de leur offrir le grand
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commun de l’indépendance reconquise, leur paraîtrait sans doute plus
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à commenter leur temps sans y être engagés par un
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immédiat ou par une volonté d’action visant à modifier le cours des é
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t fédéraliste. Le seraient-ils, ils courraient le
risque
de provoquer lors du référendum de cet automne l’opposition massive d
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nce énigmatique à méditer, sans jamais oublier le
risque
du coup de bâton appliqué par le maître au disciple, si ce dernier pr
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es possibilités, pour chaque homme, de courir son
risque
personnel, de donner un sens à sa vie, tant de travail que de loisir,
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d’une décision et d’une inclination le plus haut
risque
, et même un risque plus qu’humain, le mariage est ici aux yeux de Nie
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d’une inclination le plus haut risque, et même un
risque
plus qu’humain, le mariage est ici aux yeux de Nietzsche « une concep
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être à ses yeux bien puissants pour justifier le
risque
qu’il encourt en exigeant ce traité de paix, dont il voit comme chacu
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étaire provoquée par la crise présente. Mais s’il
risque
la guerre pour que Pankow maintienne son peuple prisonnier, il fourni
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issances militaires. Autrement, ils courraient le
risque
de trahir leur mission spéciale, opposant leur statut particulier à s
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urope unie. Sinon, l’Europe qui se fera sans elle
risque
bien de se faire contre elle — c’est-à-dire contre son essence fédéra
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ses, et à coup sûr diminuerait très fortement les
risques
de leur retour à l’avenir ; 2°) que la neutralité suisse, en s’absol
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r l’entente établie entre nos grands voisins. Les
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de guerre qui subsistent ne sont plus nationaux, mais mondiaux : rêve
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rôle, ou plutôt à le créer, en prenant de grands
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quoi qu’elle fît. Brugmans rappelle d’abord l’idée qui a germé à Mont
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rugmans. (Mais n’est-ce pas pour avoir accepté ce
risque
-là que Lénine a gagné finalement ?) En revanche, aller à La Haye sous
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existence en tension. L’UEF choisit ce jour-là le
risque
de collaborer. Elle le fit, semble-t-il, sans enthousiasme, voire ave
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l politique », et leur volonté d’assumer tous les
risques
d’une convocation des états généraux de l’Europe : les comités d’anci
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t libre, nous voici contraints de le faire, à nos
risques
et périls ! Nous voici contraints de nous demander ce que nous attend