1
aines, fait de lui un révolutionnaire, l’homme du
risque
opposé à l’homme des assurances. Car l’humanisme n’est, aux yeux de l
2
chaque chrétien de reconnaître et d’accepter les
risques
d’une vocation toujours unique, et parfois scandaleuse. Je ne crois p
3
non pas ce qui retient en arrière et en deçà des
risques
de la vie. 4. Que l’Église affirme avec force, dans le domaine politi
4
nces historiques, au hasard des situations ? Quel
risque
humain, ou même spirituel, cela comporte-t-il ? Avez-vous des vœux ou