1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
1 ais dont la débile passion se satisfait à moindre risque dans l’illusion d’une liberté tout « intérieure ». Nous aurons donc d
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
2 es cas d’homonymie ou de polysémie. Ainsi l’on ne risque pas de confondre le vol à la tire et le vol plané dans la conversatio
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
3 t l’aventure, le romantisme et l’utopie, enfin le risque créateur qui reviennent tenter l’esprit. Il serait vain de le nier :
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Leçon des dictatures
4 ersonne, l’aventure personnelle, la liberté et le risque personnels. 3° La constatation de cet échec s’impose non seulement à
5 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
5 mêmes au prix d’un effort quotidien : c’est notre risque et notre bonne conscience. Et d’abord, il faudra déblayer et débrouss
6 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
6 feu à l’aide d’un critère spirituel ? Sinon l’on risque bien de voir le spirituel pâtir du discrédit d’un ennemi devenu trop
7 é tacite qui lie depuis un siècle les clercs sans risque et les meneurs du jeu économique. C’est bien la même erreur sur l’hom
8 des clercs sérieux, distinguée de l’action et du risque qui sont peut-être les liens les plus concrets avec l’inconscient col
9 mettait soi-même dans la balance, on courrait le risque de la faire sauter. Or c’est la balance qui importe, et non pas ces m
10 eait un acte de choix, c’est-à-dire instituait un risque . On décide ainsi couramment du « choix » d’une carrière, d’un parti p
11 es suites politiques qu’elle implique. Je vois le risque de ce développement ; et je crains qu’il n’emporte certaines adhésion
12 nd, c’est la volonté d’assurer l’homme contre les risques de la possession. a) C’est en vain que l’on chercherait dans le marx
13 brutalité souvent naïve, endossant loyalement le risque de leur erreur, que pour ceux plus nombreux qui louvoient dans d’habi
14 que l’homme lutte contre le monde, en assumant le risque de sa propre perte. Oui, quel que soit le monde, et moi-même dans ce
15 leur sécurité ailleurs que dans l’acceptation du risque  ; tous ceux qui font appel à la correction des manières ou des pensée
16 isme veut singer le christianisme, il supprime le risque de ses revendications. 79. C’est un des tours de la scolastique hég
7 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
17 de même sera l’indivision de la pensée et de ses risques . Et ce qui révélera dans un auteur l’autorité, ce sera le sens de l’i
18 sans cesse de l’immédiat, de l’instant actuel, du risque vrai. Notre durée agit comme Une force centrifuge : nous remettons à
19 éatrice, et à revendiquer âprement la primauté du risque sur la sécurité, comme fondement de toutes nos hiérarchies intellectu
20 intellectuelles. Quatrième vertu : le goût du risque Pédagogie du risque : tout ce qui n’est pas dangereux est inutile 
21 atrième vertu : le goût du risque Pédagogie du risque  : tout ce qui n’est pas dangereux est inutile ; tout ce qui est inuti
22 ient le pouvoir de s’incarner, l’idée qui crée un risque dans ma vie. Ce risque atteste l’existence d’un conflit, c’est-à-dire
23 carner, l’idée qui crée un risque dans ma vie. Ce risque atteste l’existence d’un conflit, c’est-à-dire la présence du réel. I
24 se forge ses fatalités et qui se crée ses propres risques et périls, si libéral que prétende être le régime. « La supériorité v
25 Cinquième vertu : l’originalité Incarnation et risque ne sont pas séparables. L’origine même de l’homme est dans un risque.
26 séparables. L’origine même de l’homme est dans un risque . Et le progrès de l’homme n’est rien d’autre que l’approfondissement
27 n’est rien d’autre que l’approfondissement de son risque originel. Ce n’est point par la culture de l’« esprit » que l’individ
28 ituel, c’est-à-dire par l’extension consciente du risque à toutes ses activités. C’est en ce sens que la pensée avec les mains
29 que l’homme renonce à assumer personnellement son risque vis-à-vis du « prochain » ? Pour nous « l’erreur fasciste » est peut
30 de toute incarnation, de toute création, de tout risque . La personne est aussi, par conséquent, l’individu moral et social pa
31 olence propre au sujet. Son exercice crée donc un risque , que l’on ne saurait affronter si l’on n’est pas, dans le même temps,