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ure et déprimée. Je ne courrai donc guère d’autre
risque
que celui de voir le lecteur fermer le volume à cette page. (Et certe
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et besoin de le soustraire au jugement, amour du
risque
et instinct de prudence. Interrogez celui qui use d’un tel langage, d
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oins, les eût créés !). Or dès qu’un historien se
risque
à formuler une hypothèse sur l’origine de la rhétorique courtoise, le
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nt, se dégagent des conclusions dont l’importance
risque
de se mesurer au nombre d’objections qu’elles soulèveront. Je ne song
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mment, en toute ignorance de cause, de fins et de
risques
encourus, en faveur d’une morale survivante que nous ne savons plus j
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é la sensation de puissance qu’il éprouve dans le
risque
. D’où le désir final du risque pour lui-même, la passion de la passio
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il éprouve dans le risque. D’où le désir final du
risque
pour lui-même, la passion de la passion sans terme, la volonté de la
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ce qu’ils tiennent pour le péché, ils courent le
risque
de s’y perdre sans retour au moment même qu’ils croient lui échapper.
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nifeste ainsi sans se l’avouer qu’elle préfère le
risque
de mort, et la mort même, à l’abandon de sa passion. « La liberté ou
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La tragédie serait ainsi une « action » privée du
risque
physique que comportait le tournoi, mais satisfaisant d’autant mieux
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e qui va changer ma vie, l’enrichir d’imprévu, de
risques
exaltants, de jouissances toujours plus violentes ou flatteuses. C’es
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rapport à la morale en soi, que sous l’aspect du
risque
et du danger qu’elle fait courir à celui qui la commet. Tandis que du
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et qui fonde une nouvelle existence, initiant un
risque
nouveau. ⁂ Écartons tout malentendu : irrationnel ne signifie nulleme
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, dans un état normal du corps et de l’esprit, le
risque
de coup de foudre est à peu près éliminé. Il apparaît ainsi que la mo