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le combat tel qu’il lui est offert, elle court le
risque
de s’y dégrader. J’ai préféré ce risque à la politique de l’autruche.
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court le risque de s’y dégrader. J’ai préféré ce
risque
à la politique de l’autruche. L’issue fût-elle désespérée. Et peut-êt
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idicule et impuissance du clerc qui s’engage Le
risque
est la santé de la pensée, à condition toutefois qu’elle l’envisage s
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mme. Ils délèguent au chef inconnu le droit et le
risque
d’être homme, et se réservent le rôle d’assurés. Ils sont prêts pour
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les maquiller ; mais bien plutôt d’en assumer le
risque
, sobrement. ⁂ J’imagine assez bien la gêne du lecteur qui s’avance à
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ée redevient un danger, un facteur de choix et de
risque
, et non plus un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas : le risque es
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us un refuge idéal. Ne nous en plaignons pas : le
risque
est la santé de la pensée. ⁂ Destin du siècle : l’expression est cour
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asion, d’une démission ; qu’ils n’ont pas fui les
risques
et qu’ils ont exposé leurs vies. Enfin, qu’ils sont animés par une fo
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prévisible, toujours aventureux. Elle vit dans le
risque
et dans la décision, au lieu que l’homme des masses vit dans l’attent
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fins ; la foi ne veut connaître que les fins, et
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ainsi de sous-estimer les moyens. Ou encore : pour le politique pur,
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sait qu’au plus fort du combat, une fois tous les
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endossés. Voilà son paradoxe et l’humour de sa lutte. L’issue de la b
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déjà sauvé. Crever de faim n’est pas le pire des
risques
que je cours. Le pire des risques, c’est de manquer cet acte par lequ
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pas le pire des risques que je cours. Le pire des
risques
, c’est de manquer cet acte par lequel je saisis le salut qui m’est pr
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ou d’abord et non pas d’abord un sage, l’homme du
risque
opposé à l’homme des assurances. Car l’humanisme n’est, aux yeux de l
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lan métaphysique. 1° Le christianisme est d’abord
risque
et folie. Le Christ dit à deux pécheurs, qu’il surprend à leur travai
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mble à rien de connu, qui est la folie même. À ce
risque
matériel qui se retrouve à tous les moments de la vie chrétienne, le
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de sa vocation, elle est seule responsable de son
risque
; surtout, elle se sait plus réelle que toute réalité collective. Ell
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ée. Comblée de chances de grandeur, et comblée de
risques
mortels. Pour la jeunesse de 1932, le conflit de vivre, le paradoxe f
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monde culturel, économique et social qu’anime un
risque
permanent, essentiel. L’État marxiste idéal ne laisse subsister que l
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L’État marxiste idéal ne laisse subsister que les
risques
accidentels ; il réduit l’aventure humaine à un déroulement indéfini
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manifeste, il crée une nouveauté, c’est-à-dire un
risque
. Et toute sa dignité consiste à assumer ce risque. La dignité de l’ho
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risque. Et toute sa dignité consiste à assumer ce
risque
. La dignité de l’homme, c’est d’être responsable. Le monde actuel est
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ais dans la possibilité pour chacun de courir son
risque
propre. Ainsi, la valeur suprême de la personne, c’est, à la limite,
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bition d’y faire figure. Aucun ne rompt, aucun ne
risque
, tous abondent en justifications éloquentes. Justification de leurs a
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us profond. Qu’est-ce qu’un homme ? J’ai dit : un
risque
personnel56. Le règne qu’ils préparent ne va-t-il point porter à notr
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facilités matérielles, une assurance contre tous
risques
. On n’en peut rien dire de précis, sauf à tomber dans la trivialité (
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te jeunesse est pauvre par goût de la force et du
risque
. Elle rit bien. Elle n’a pas ce sérieux engourdi des gens qui font un
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! Prenez garde à tous ceux qui vous appellent au
risque
pour le risque ! La conclusion fatale de leur désespoir s’appelle tou
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à tous ceux qui vous appellent au risque pour le
risque
! La conclusion fatale de leur désespoir s’appelle toujours l’État to
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oir rester longtemps la dernière à souffrir. Elle
risque
cependant de se voir bientôt réveillée par une brutalité dont elle es
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e et dégrade à la fois l’esprit et la matière, et
risque
, à la limite, de les priver de toute raison d’être efficace, — ainsi
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n, — gagner sa vie. Nous partons de la liberté du
risque
, — c’est peut-être perdre sa vie. Cette opposition est tellement radi
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à penser en hommes responsables, à penser dans le
risque
total de l’être, qui est l’acte. Nous penserons avec des mains créatr
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le jeu, les combinant selon sa loi pour créer un
risque
nouveau. Le temps de cet homme est plein, et nul n’y pourrait disting
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mauté du spirituel » qu’il ne cessa d’invoquer au
risque
, il faut le dire, de créer provisoirement, dans certains cerveaux, le
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ais au contraire, c’est se libérer et assumer les
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de sa liberté. Il peut sembler paradoxal de soutenir que l’engagement
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t des morts, pour peu qu’il vienne à s’accentuer,
risque
de nous conduire un jour par une voie directe au fascisme, une certai
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et de caractères bien trempés », nous courons le
risque
d’oublier que la Réforme n’est pas faite pour l’homme d’abord. À forc
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sa vertu de prise de position dans le vif, à tous
risques
. Et surtout, je n’ai pas éprouvé un seul instant, tout en relisant ce