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té ou d’un citoyen dont on craint l’ascendant. Il
risque
d’être jugé sur l’heure avec toute la précipitation qui caractérise l
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conflit perpétuel et toujours renouvelé trahit le
risque
essentiel de toute fédération mais aussi la tension nécessaire à sa v
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peut toujours servir », plutôt qu’à s’exposer aux
risques
de détruire le bon usage avec l’abus. Il paraît difficile de déceler
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capitaux, de cadres et de procédés ne va pas sans
risques
. Les Suisses se trouvent à la tête d’un « empire » industriel et comm
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enu par des évidences tangibles, assuré quant aux
risques
immédiats. ⁂ S’il est vrai que le peuple suisse, dans son ensemble, e
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si peu suisse par le rythme endiablé, le goût du
risque
, et tellement suisse par la philosophie et la morale qui l’animaient.
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absolu de l’évolution historique, on courrait le
risque
d’enrayer tout le mécanisme de l’expansion économique, mais aussi de
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et la richesse, au comble de sa gloire et de son
risque
. Elle n’a jamais été moins neutre, moins confinée dans ses moyennes,
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15 % et qui appartinrent jadis à tel petit pays,
risque
fort d’être noyée dans un flot d’influences tout internationales. Que
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on, … signer ici plutôt que là… c’est assumer les
risques
de sa liberté ». D’autres, plus tard — une guerre plus tard — se sont
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issances militaires. Autrement, ils courraient le
risque
de trahir leur mission spéciale, opposant leur statut particulier à s
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rope unie. Sinon, l’Europe qui se fera sans elle,
risque
bien de se faire contre elle, — c’est-à-dire contre son essence fédér
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r l’entente établie entre nos grands voisins. Les
risques
de guerre qui subsistent ne sont plus nationaux, mais mondiaux : rêve
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ritée par ses choix, par ses prudences et par ses
risques
assumés. C’est ce que beaucoup ne lui pardonnent pas. D’où les titres