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sisterai pas ici — bien que certain que sa pensée
risque
ainsi d’être mutilée ou, tout au moins, appauvrie — sur l’importance
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r vers l’aventure personnelle, l’autonomie et ses
risques
. 17 janvier 1969 Initiation et initiative sont en fait deux tendance
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et saine doctrine, besoin de sécurité et goût du
risque
, conformité qui maintient les valeurs, originalité qui les conteste e
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liberté, c’est vouloir que chaque homme coure son
risque
, devienne non plus l’instrument d’une action collective, mais le vrai
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érêts de la cité, de la nation, ou de l’État : ce
risque
, ce danger, doit être admis d’avance ; donc des hommes créateurs de c
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aucune des recettes valables pour tous les autres
risques
de la liberté n’est applicable. C’est toujours le même, mais qui se p
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roissante. Aujourd’hui, il constate que la nature
risque
de succomber à l’industrie qui la pille sans le moindre scrupule, pui
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e tant d’hommes aujourd’hui la fuient, devant les
risques
et les obligations qu’elle implique, cherchant des remèdes à cette li
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traire que chacun assume ses responsabilités, ses
risques
, et tâche de les faire valoir, sans faire la guerre ou vouloir la mor
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pôle du collectivisme, quand il recule devant les
risques
de sa vocation individuelle. À ce moment-là, il s’offre à la tyrannie
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t devant sa vocation, on ne veut plus assumer les
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de sa liberté). Ceci correspond exactement au double danger de déviat
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n vers l’unitarisme : on ne veut plus assumer les
risques
et les charges de son autonomie locale, et on s’en remet complètement
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du monde. Il y a finalité dès qu’il y a aventure,
risque
, liberté et responsabilité, et enfin droits individuels, valeurs chré