1 un ouvrage ne se passe mieux de préface qu’un bon roman . Pourtant la réussite de Max Brod n’est pas seulement de l’ordre roma

2 enchanté attribue aujourd’hui l’inspiration de ce roman . Sachons-lui gré d’accorder par là même, à un public plus étendu, l’a

3 papiers les manuscrits presque complets de trois romans  : Le Procès, Le Château, et Amérique. Le regard qu’il y porte sur le

4 du Royaume enchanté de l’amour. 22. Le Procès, roman traduit de l’allemand par A. Vialatte. Deux autres récits de Kafka on

5 n’apprendrai rien à personne en affirmant que le roman est le plus « contagieux » de nos genres littéraires, j’entends celui

6 emps perdu » ; enfin, à tous les adultères que le roman à trois personnages, genre français par excellence, a provoqués et ju

7 tidienne. Il est très bon que le romancier et ses romans agissent, de cette manière intime et souterraine, tant qu’ils ont que

8 femmes qui lisent et qui se passionnent pour les romans . Ainsi, à force de ménager les préjugés moraux et immoraux, à force d

9 i n’ose pas affirmer sa tendance. La contagion du roman réaliste ou psychologique actuel s’exerce uniquement au profit des cl

10 nt tout le monde parle, c’est d’abord la crise du roman , et du roman fait à l’usage des bourgeois, de leurs loisirs improduct

11 nde parle, c’est d’abord la crise du roman, et du roman fait à l’usage des bourgeois, de leurs loisirs improductifs. Une tell

12 litent en faveur d’un ordre vrai, donnez-nous des romans qui riment à quelque chose, il n’y aura plus de crise du livre. i.

13 le, et très vite, une patine rassurante. Quant au roman contemporain, il est curieux que Thibaudet, son premier historien, ne

14 istes, ne reste un trait capital de l’histoire du roman , du paysage, du roman, pour cette tranche de siècle que meublera la g

15 it capital de l’histoire du roman, du paysage, du roman , pour cette tranche de siècle que meublera la génération de 1914. Il

16 nte s’oriente déjà vers d’autres formes. Les gros romans sociaux de huit-cents pages que nous assènent les Céline, Aragon ou P

17 ou Plisnier sont bien plus des pamphlets que des romans , des essais illustrés d’exemples : du coup, ils retrouvent un public.

18 l’âme, — qui est aussi bien le vague au corps… Le roman d’Hoffmannsthal — contre-épreuve — décrit le tourment d’une femme sté

19 il veut du vraisemblable ! Il est retombé dans le roman insignifiant. P.-S. Je n’ai pas voulu alourdir cette esquisse de tou

20 ont traité le mythe de l’ombre perdue dans leurs romans , pièces, ou contes fantastiques. Notons qu’en dehors du domaine germa