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llemande ; ni de poésie, ou de dramaturgie, ou de
roman
suisses, comme il y eut un lyrisme languedocien, un théâtre élisabéth
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lyrisme languedocien, un théâtre élisabéthain, un
roman
russe. Non point que l’apport des Suisses en ces domaines, de la Rena
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métaphysique. Coteaux modérés : la peinture et le
roman
. Sommets : la philosophie politique et historique, la théologie, la p
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plus de chances de les trouver dans le domaine du
roman
: La Nouvelle Héloïse, l’Émile, Adolphe, le Grüne Heinrich de Gottfri
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alisme stylisé de C. F. Ramuz, se distinguent des
romans
français, anglais ou russes des mêmes époques par la gravité du propo
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s simplement la fortune du cinéma, le théâtre, le
roman
, la poésie en vivent depuis des siècles, l’entretiennent en chantant
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de s’exalter, de devenir une passion. Et c’est le
roman
de Tristan et Iseut qui restera le prototype éternel de l’amour-passi
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du plus fort et Tristan apparaît tout au long du
roman
comme supérieur aux autres. Or il n’use pas de ce droit et livre Iseu
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e d’épouser lui-même Iseut aux blanches mains. Le
roman
de Tristan est en somme une longue suite de séparations et de revoirs
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ntées par Tristan qu’imposées par l’extérieur. Ce
roman
de Tristan dont le succès prodigieux révèle notre préférence pour le
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ue sur nos rêves. Quel rapport a donc au juste le
roman
de Tristan et la crise du mariage ? C’est que finalement notre crise
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né, ne se traduit plus que par l’envahissement du
roman
d’amour, du film sentimental et de la pièce de boulevard (le roi Marc
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ous vivons sous l’emprise de ce mythe dégénéré en
romans
, opéras, puis films, chansonnettes, etc. Ce n’est donc pas une invent