1 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
1 plus secrète. Vers l’est, des collines fluides et roses . De l’autre côté, c’est le vide, où s’en vont lentement les eaux et l
2 es. Le long de l’Arno, les façades sont jaunes et roses près de l’eau, puis perdent dans la nuit leurs lignes graves. Toutes
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
3 Miniato ou de Fiesole, il peint Florence avec des roses et des jaunes jamais mièvres, sous l’œil méfiant des fascistes qui le
4 autre encore : cette fois-ci c’est un Evard : des roses noires sur une table, dans un espace bizarrement lumineux où se coupe
5 mystère. Que va-t-il se passer là-dedans ? Et ces roses sont le signe de quel occulte prodige ? Intrigué, vous reprenez ce qu
3 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
6 absurdité d’un semblable système. » Musset. Une rose et un journal oubliés sur le marbre vulgaire d’une table de café. Je
7 plus d’ennui. J’essayai donc de rêver. Mais cette rose oubliée me gênait : perdre une rose pour le plaisir ! (Et je ne pensa
8 r. Mais cette rose oubliée me gênait : perdre une rose pour le plaisir ! (Et je ne pensais même pas, alors : une si belle ro
9 (Et je ne pensais même pas, alors : une si belle rose .) Le tambour livra un homme élégant et tragique, qui se tint un momen
10 n robe rouge, et très fardée. Elle jouait avec la rose . Les dés roulèrent, pour un dernier enjeu. Alors la femme lança sur l
11 er enjeu. Alors la femme lança sur la table cette rose qui s’effeuilla sur les dés, et partit d’un long rire. Elle me regard
4 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
12 de fleurs. C’était la petite bossue qui vend des roses et des œillets dans la rue de Carinthie. Gérard lui paya quelques œil
13 e de Clam-Clamannsfeld dont le manteau de velours rose laissait découvertes des jambes extrêmement hautes tandis que sa tête
5 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
14 bien nous allons partir l’air s’entrouvre un feu rose éclôt voici ton heure au regard le plus pur je suis à toi dans le tri