1 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Beekman Place (octobre 1946)
1 petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
2 Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses , d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
3 er leurs lampes. Une blonde platinée, en peignoir rose , ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fa
2 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
4 e vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose . « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
3 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Noël à New York (décembre 1946)
5 rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’es
6 ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le rose et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
7 edo de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une rose est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
4 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
8 onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordue par
5 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
9 e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un rose sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com