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petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et
rose
dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
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Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de
roses
, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
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er leurs lampes. Une blonde platinée, en peignoir
rose
, ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fa
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e vaste et noire une petite lampe fait une flaque
rose
. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
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rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie
rose
feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’es
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ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le
rose
et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
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edo de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une
rose
est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
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onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant
rose
et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordue par
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e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un
rose
sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com