1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
1 s le Cœur gros, c’était un parc avant l’orage, le rose sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent. Et dans la Maladè
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
2 dre un personnage épisodique : « Il confondait la rose et la pivoine, l’orange et l’ananas… »). Une telle œuvre, dense, sans
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des roses . Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
4 écor en pierre brune peu solide, rongé de petites roses cramoisies. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier
5 en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des roses . Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
6 que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
7 roses est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
8 massées tout autour, frileuses dans leurs dessous roses , les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
9 i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q