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vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de
roses
et des blés aux bords du plateau de la Brie. Je montais vers Périgny
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n de la route sentait plus fort que les champs de
roses
, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. J’ai su, plus tard,
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es forêts sauvages, mouchetées d’arbres rouges et
rose
pourpre d’une intensité de couleur que je n’ai jamais vue ailleurs. A
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ident du CICR (69 ans, veston léger « avec petite
rose
jaune au revers laissant voir un admirable gilet blanc ») se trouve c
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écit. Dans Le Cœur gros un parc avant l’orage, le
rose
sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent. Dans La Maladère