1 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
1 rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et rose au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
2 petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
3 Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses , d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
4 mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
5 onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
6 vaste et noire, une petite lampe fait une flaque rose . « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
2 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
7 e grelots, mais le décor est italien. (Et ce même rose très pâle et un peu mauve des cotonnades, que je n’avais encore vu qu
8 On entend le frottement des pieds nus, des saris roses , violets, vert assourdi. Des yeux brillent dans les portes sombres. Ç
9 de de racines grises formant le tronc, des fleurs roses et violettes, piquées en ex-voto. Devant moi, quelques marches condui