1
s claires et propres, tapissées de glycines et de
roses
trémières, et parfois recouvertes de treilles à l’italienne. Comme on
2
le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent
roses
. 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — Trois mètres sur trois
3
t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières
roses
au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
4
us claire que le ciel vide, et illumine la goutte
rose
d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc.
5
dites « bouquets », grosses comme le doigt, d’un
rose
sombre, aux longues antennes grenat. Un jour nous avons pris une seic
6
es et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de
roses
, et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la
7
dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de
roses
trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la nuit. Nous a
8
devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques
roses
aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, de