1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 s claires et propres, tapissées de glycines et de roses trémières, et parfois recouvertes de treilles à l’italienne. Comme on
2 le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent roses . 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — Trois mètres sur trois
3 t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières roses au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
4 us claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc.
5 dites « bouquets », grosses comme le doigt, d’un rose sombre, aux longues antennes grenat. Un jour nous avons pris une seic
6 es et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de roses , et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la
7 dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la nuit. Nous a
8 devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques roses aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, de
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 en silhouette sur les crêtes, et des toits de ce rose émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière not
10 s hier au soir. Des hauteurs, on voyait la plaine rose et violacée entre des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un p
11 te maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses , elle est bien à la ressemblance des vieilles paysannes de par ici, r