1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 us trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de roses rouges que V. O. envoyait à ma femme. Plantée au milieu du studio, da
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de roses et des blés, aux bords du plateau de la Brie. Nous montions vers Péri
3 n de la route sentait plus fort que les champs de roses , et des nuages noirs traînaient sur les vergers. Mars 1940 Entr
3 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
4 ierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de roses , à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer… L
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
5 er sur les quais, le long des bâtiments de brique rose aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bul
5 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
6 us. Que sert de comparer ? Quel sens ? Il y a des roses dans les ruines. Des enfants jouent à côté des prisons. L’un subit la
6 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
7 rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et rose au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
8 . Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison rose de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui apport
7 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
9 petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et rose dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
10 Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de roses , d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
11 mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir rose ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
8 1946, Journal des deux mondes. Virginie
12 e vaste et noire une petite lampe fait une flaque rose . « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
9 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
13 onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant rose et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
14 rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie rose feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’es
15 ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le rose et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
16 edo de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une rose est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
10 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
17 es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un rose feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
18 des murs couleur de temps, où quelques taches de rose clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les